Bonjour Audrey,
En effet, la proposition qui vous semble en adéquation avec les évènements cités ne me convient pas. Et pour cause, je ne comprends pas en quoi la totalité des dégradations et désagréments causés par vos soins (quand je dis "vos", entendons bien les employés représentants de l'enseigne au moment t, nous ne sommes pas dans un conflit personnel, rappelons le) ne seraient pas en totalité pris en charge. Le directeur de magasin a du remonter qu'il aurait pu faire faire certaines choses à ses frais à moindre coût si je ne l'avais pas mis "devant le fait accompli". Seulement, il ne s'est pas manifesté du tout pour apporter une solution qu'elle qu'elle soit devant mes alertes. La seule réponse que j'ai eue, c'est l'arrivée, impromptue du poseur, 3 jours plus tard, sans me prévenir, qui n'aurait de toute façon pas pu intervenir sur les points qui posait problème car pas formé pour (un poseur n'est ni enduiseur, ni peintre, ni plombier de ce que j'en sais), et pas équipé (comment évacuer tant de déchets dans un si petit véhicule ? Et de toute façon, il (le poseur)m'a dit que ce n'était pas la politique de l'enseigne d'évacuer les déchets , et que c'était un problème récurrent avec les client. Sur la lumière de cela, expliquez moi en quoi votre proposition insultante est en adéquation avec les éléments cités ? Et je fais l'impasse sur les problèmes de pose en elle même et de forme de communication et de manque de communication.
Il a fallu que je peste ici, pour que quelqu'un trouve judicieux de finalement répondre à mes bouteilles jetées à la mer.
Quant à votre souci d'équité, permettez moi de vous demander, et me demander, en quoi un avis neutre, purement consultatif pourrait t'il bien faire pencher les choses en ma faveur ? Ou alors escomptez vous que cet intermédiaire penche en vote faveur ?
Tout ceci n'est en mon sens que de la poudre aux yeux, ayant pour objectif de démontrer la pseudo bonne volonté et bonne foi de l'enseigne , prête à trouver des solutions auprès de clients pseudo casse pieds et pseudo revanchards.
Si j'étais motivée par un quelconque appât du gain ou je ne sais quel sentiment que vous me prêtez, j'aurais accepté le pécule que vous me proposez.
Or, c'est une question de principe commercial. J'estime que le service commercial d'une enseigne comme la vôtre se doit d'avoir un certain comportement, et non pas traiter les clients comme des portefeuilles sur pieds, que l'on peut tourner en bourrique et parler comme à des idiots une fois le chèque encaissé.
Et j'ai envie d'ajouter, surtout à ce prix là. Nous n'avons même pas demandé un semblant de réparation d'un préjudice moral, et nous sommes montrés des plus consensuels et conciliants jusqu'à ce que la limite de la bienséance ait été atteinte.
Je passerai peut être pour celle qui est de mauvaise volonté, c'est peut être là votre but, mais moi je sais avoir demandé au service consommateur si une meilleure proposition, en adéquation avec le préjudice que nous avons subi, pouvait être faite, et que la réponse fut négative. Donc je ne suis pas là pour ramasser des miettes, je suis là uniquement pour prévenir les éventuels futur clients de la machine dans laquelle ils s'apprêtent à s'embarquer, et peut être se perdre.Peut être pas, chacun sa chance, mais je partage mon expérience.
Dans une certaine mesure, vous pouvez dire au directeur du magasin qu'il a gagné. Je demandais le remboursement de 715€, il m'en propose 412.50. Et j'en ai finalement pris 0. Il aura donc empoché la totalité du montant de la cuisine (10 000€) sans en perdre un centime.
Chacun voit midi à sa porte. En ce qui me concerne, ma tolérance à la mauvaise foi a atteint ses limites, et je peux vous dire qu'elles ne sont pas si restrictives que cela.
Qu'il se réjouisse, il a gagné son bras de fer, Bravo Monsieur le directeur du magasin de Vitry Sur Seine, votre égo est sauf. Réjouissez vous, je ne prendrai pas un centime de votre porte monnaie.