Je passe une seconde couche :
Je reste consterné par le fait qu'une idée aussi sotte et grenue qu'une moyenne bayésienne ait pu germer dans l'esprit d'un concepteur supposé intelligent.
En effet, l'iniquité du principe est facilement démontrable, si on y réfléchit un peu :
Il y a, d'une part, une note moyenne (sur 5) avec 1 décimale et d'autre part une base de départ donnant 7 notes de 3.5 /5 additionnées "arbitrairement".
Pour rétablir la note extrême (1 arrondie par défaut ou 5 arrondie par excès), il faudra obtenir une moyenne ne dépassant pas 1.05 pour 1 et supérieure à 4.95 pour 5
Dans ce principe, une entreprise sérieuse et honnête nouvellement cotée se verra pénalisée tant qu'elle n'aura pas reçu 205 fois un 5 /5.
Un margoulin, lui, sera favorisé tant qu'il n'aura pas reçu 344 fois un 1 /5
Le tout, bien sûr, en valeur absolue, sans autre note intermédiaire ou opposée.
Faites les calculs, avec une simple notion d'arithmétique.
A qui profite ce concept en contre-sens des intentions de vote ?