Le Groupe Stellantis a Fabriqué plus de 600 000 Bombes à Retardement et ne Sait pas Comment les Désamorcer !
Le groupe Stellantis, avec ses marques Citroën et DS, entre autres, et son PDG qui touche 36 millions de dollars de salaire annuel, se retrouve au cœur d’un scandale retentissant.
Plus de 600 000 véhicules, dont les Citroën C3 et DS 3, sont équipés des airbags défectueux de chez Takata, entreprise qui a fait faillite en 2017 justement à cause de ses airbags explosifs, transformant ces voitures en véritables bombes à retardement (allez voir les sites de presse qui expliquent pourquoi).
La situation est tellement critique qu’il est conseillé aux propriétaires de ne plus utiliser leur véhicule sous peine de risquer leur vie !
Prenons un exemple concret : dans notre petite ville du sud de la France, la grosse concession Citroën est submergée. Avec plus de 800 demandes de remplacement d’airbags à traiter, ils n'ont reçu que... deux kits ! Deux, vous avez bien lu. Dans cette course contre la montre, ils se retrouvent totalement désarmés face à l'urgence.
Et ce n'est pas tout : aucune voiture de courtoisie n’est proposée. Enfin si, sur le papier et la communication officielle, pour faire bien. Mais dans la réalité ces véhicules n’existent pas. Oui, vous avez bien entendu, aucune solution de remplacement pour les propriétaires qui se retrouvent sans véhicule.
Ajoutez à cela un service national de support totalement saturé, qui ne répond plus depuis une semaine. Pendant ce temps, des milliers de personnes, dont ma compagne, se retrouvent sans voiture et sans solution.
On assiste donc à une situation où Stellantis, un géant de l'industrie automobile, dont le PDG se gave tant qu’il le peut, semble incapable de gérer sa propre crise. Business as usual...
Plus de 600 000 véhicules dangereux sur les routes et pas l’ombre d’une réponse adéquate en vue. Stellantis a fabriqué ces bombes à retardement, mais il semble bien démunis quand il s'agit de les désamorcer.
Combien de temps encore avant que cette situation trouve une issue ? Combien de vies en suspens avant que les responsables prennent enfin des mesures concrètes ?
En attendant, nous, les propriétaires, restons sur le carreau, avec pour seule consigne : "Ne prenez pas la route, votre vie est en danger." Merci Stellantis, vraiment, merci.
Vous l’avez compris, je suis un peu remonté là
