Suite à nos différentes réclamations au sujet de la mise en oeuvre de notre protection juridique MAIF, celle-ci reconnaît que notre dossier constitue un "sinistre" au sens de l'article L 127-2-1 du code des assurances mais refuse de le prendre en charge.
En effet, la MAIF considère qu'il est nécessaire que les éléments constitutifs de la réclamation soient postérieurs à la souscription du contrat et réalisés à l'issue du délai de carence.
Il en découle qu'un refus n'est pas suffisant pour pouvoir actionner la PJ.
Que pensez-vous du raisonnement tenu par la MAIF répond aux dispositions de l'article L127-2-1 du code des assurances ou s'en écarte ?
Vous remerciant par avance pour votre réponse.
Bonne journée,
Laxman