bonjour à vous tous
je tenais à vous mettre en garde face à des pratiques très douteuses de la pars d'un grand groupe comme carrefour. si je vous écris aujourd'hui, c est que, malgré mon message (ci après) envoyé mercredi dernier via le portail internet, je n'ai reçu aucune réponse et celui-ci n a pas été publié sur le portail. cela signifie t il que ces pratiques sont cautionnées par la direction???
quoiqu'il en soit, je vous laisse lire mon message qui résume mon expérience des "soldes" version carrefour mi voix à calais. bien entendu, cela n est toujours pas solutionner…
de plus, il me semble nécessaire d'en informer également les services compétents, comme évoqué, afin que ce genre de pratique ne se produisent plus. c'est notre devoir de citoyen que de lutter contre les agissements illégaux. il arrive a tous de faire des erreurs, mais, dans le cas d'une bonne fois, elles sont résolues ensemble.
mon message au directeur, envoyé par le portail :
Monsieur Lxxxxxx,
En cherchant les coordonnées du secrétariat de direction pour solliciter un entretien avec vous, je viens de découvrir ce forum et en suis ravi. Je pense que, vu la rapidité des réponses, le staff devrait pouvoir m’éclairer.
Je m’excuse à l’avance de la longueur de ce message, mais il me semble nécessaire d’apporter toutes les informations possibles pour bien présenter les désagréments que j’ai subis par votre organisme (même si de nombreux autres « détails » n’y sont pas retranscrits)
Les faits :
Le 30 juillet, je me rends au magasin et repère un article soldé m’intéressant : une cafetière automatique à grain de marque DELONGHI ECAM23210. Le prix affiché passant de 499€ à 149€ 70, mais avec l’information manuscrite « remise SAV 2e main ». Le carton ne présentait pas de dégât en particulier mais il était cerclé, m’empêchant de pouvoir contrôler la cafetière. De ce fait, je me rendis à l’accueil afin de solliciter un vendeur. L’hôtesse, Catherine X, m’informa alors qu’aucun vendeur du rayon n’était présent. Je lui demanda alors si je pouvais procéder au control de la machine, devant elle ou l’agent de sécurité. La réponse fut « oui » au début. Je repartis alors chercher le produit en rayon. A mon retour, un client juste devant moi me fit part que lui aussi souhaitait contrôler les articles « 2e main » qu’il avait repérés (une tablette de mémoire). En discutant avec lui le, temps que ca soit mon tour, il m’informa que, désormais, il voulait systématiquement contrôler les articles car, dans le passé, il avait acheté une imprimante en 2e main et que, une fois chez lui, celle-ci ne fonctionnait pas. Après un retour au SAV, il s’avérait que les têtes d’impression n’y étaient pas et que celle-ci coutaient plus cher que l’imprimante. Bien sur, il n’eut aucun recours pour prouver sa bonne foi et perdit ainsi une bonne 50e d’euros…
Cela me confortait donc de faire appliquer mon devoir d’acheteur, à savoir, contrôler le produit avant achat afin de m’assurer qu’il était dans l’état stipulé. Une fois mon tour venu, je reformulai ma demande d’ouverture du carton devant l’hôtesse. Celle-ci me réfuta que ce n’était pas possible et qu’il fallait l’acheter comme cela. Si le SAV l’avait mis au rayon, c’est que tout était contrôlé et sans surprise. Elle me dit alors que je pouvais repasser le lendemain matin l’acheter, un vendeur devrait être disponible… je lui demandai alors de garder le produit mais elle ne pouvait pas non plus. Je lui demandai alors comment je pouvais m’assurer que le produit serait toujours la. Aucune réponse, juste un certain « agacement… », puis elle me dit que je pouvais l’acheter et revenir l’ouvrir le lendemain devant le vendeur… je lui fis comprendre qu’il n’y avait alors aucune preuve que, si l’appareil présentait un défaut, celui-ci n’était pas de mon fait, en prenant l’exemple de la chute dans l’escalier.
Comprenant que je n’arriverai pas à faire entendre la moindre logique, je me dirigeai alors en caisse. Bien entendu, l’article ne passa pas au bon prix et je due le payer dans son intégralité, pour me faire rembourser juste après à l’accueil. Ma carte bleu me le permet aisément, mais j’imagine qu’un autre client pourrait également avoir des problèmes sur ce point… une fois de retour à l’accueil, je demanda le remboursement de la différence et informa l’hôtesse que j’allais procéder au contrôle du produit devant elle. Celle ci me réfuta que ce n’était toujours pas possible… je lui informa donc, avec insistance, que ce produit m’appartenait légitimement puisque je venais de l’acheter et que je procéderai à l’ouverture du carton malgré son refus illégitime. J’ai donc eu le droit aux deux vigiles qui venaient me surveiller de prés, ce qui est toujours agréable quant on essai de faire respecter ses droits, mais aussi d’obligations en tant qu’acheteur, à savoir prendre connaissance de l’état de l’article. J’avais bien compris que j’avais affaire à une personne peu professionnelle qui n’hésitait pas à mettre le client en porte-à-faux, l’empêchant d’exercer ses droits et devoir les plus stricts ! Ne constatant pas de défaut visible, je retournai chez moi avec l’article. Une fois branché, un voyant rouge s’alluma immédiatement : machine entartrée selon le manuel en anglais, seul accessoire dans le carton. La encore, j’aurai du constater que différents accessoires étaient manquants mais le climat hostile ne me permettait pas d’effectuer un contrôle serin.
Je retournai donc au magasin, le lendemain soir, avec la machine. Ce coup ci, personne ne pouvait le réceptionner… et certainement pas la moindre solution proposée par l’accueil qui ne « pouvait pas en prendre la responsabilité »… c’était a moi de m’adapter une fois de plus...
Je dus donc me replacer le samedi matin, décalant ainsi mon départ en vacances, pour amener l’article au SAV. Je demanda donc à parler avec un cadre, étant moi même cadre, afin de l’informer de la situation et que je trouvais inadmissible la façon donc les clients étaient traités et l’illégalité subit en m’empêchant d’exercer mon devoir de contrôle du produit. Cette personne s’excusa au nom de carrefour et m’indiqua que cela ne se reproduirait plus, tout en m’informant que le SAV traiterai ma demande rapidement. Cela me permit néanmoins de faire réaliser une « facture », initialement impossible à produire lors de l’achat mais également impossible à réaliser le lendemain… elle est donc manuscrite avec le tampon du magasin…
Une fois l’article déposé et la « facture » en main, je pu enfin prendre la route des vacances. A mon retour, trois semaines plus tard, je n’eu pas de retour du SAV ni du magasin. J’essaya d’appeler mais sans succès. Je me rendis donc au magasin de nouveau. La, je ne m’arrêta pas à l’accueil mais me rendis directement au SAV. Personne… je croisai cependant un vendeur et lui demandai s’il pouvait m’informer du traitement de mon dossier. Il m’indiqua que seule la personne au SAV pouvait me renseigner et que celle ci partait en vacances le lendemain. Il lui mit donc un mot sur son ordinateur pour que je sois tenu informé dans la journée, a défaut d’arriver à joindre ce service. J’attendu donc l’appel et, sans avoir reçu celui-ci, j’appelai de nouveau à 17H30 et laissai sonner pendant plus de 15 minutes... personne…
Un mois plus tard, n’arrivant toujours pas à joindre le SAV, je me rendis de nouveau à l’ « accueil » mais cette dame me fit clairement comprendre qu’elle ne pouvait pas laisser un message à sa collègue du SAV, situé à 20 mètres, car elle ne pouvait pas gérer les 300 employés…
Je suis donc toujours sans ma cafetière, malgré presque 4 mois d’attente et de nombreux déplacements en voiture, sans compter le temps perdu...
Voici donc mes questions :
• Pensez vous qu’il soit normal qu’on empêche le client d’exercer ses droits de contrôler les articles avant achat ?
• Pensez vous qu’il soit normal de vendre des articles défectueux sans en informer le client ?
• Pensez vous normal que ce soit au client de s’adapter aux disfonctionnements internes ?
• Pensez vous réellement que, après les nombreux désagréments subis, c’est le genre de « service » (inexistant) et de comportement (douteux) que l’ « accueil » est en mesure de fournir ?
• Pensez vous réellement que ces problèmes, l’aide à la résolution de ceux ci, et surtout le comportement de cette hôtesse d’accueil sont à l’image de Carrefour ?
J’attends donc un retour très rapide de votre part pour trouver une solution définitive. Dans la négative, je serais dans l’obligation d’en informer la DGCCRF et la DGPP pour les deux aspects distincts que j’ai subis.
Bien entendu, j’en informerai également le siège de Carrefour (avant toute procédure) ainsi que les sites internet spécialisés dans la résolution de ce genre de problème.
Comptant sur votre professionnalisme pour trouver rapidement une solution, je vous souhaite une bonne journée
Cordialement
Arnauld L
Ps : mon écris, transposant mon vécu, respecte bien la charte de modération. Je pense donc le lire sur votre site sous 4 jours.