Il vient de m'arriver exactement la même mésaventure que Jean-Marc et 1 an après la méthode de WonderBox est toujours la même !
Je suis dans le même état d'esprit avec le sentiment de m'être fait "volé" le cadeau acheté par un proche car enfin, si à la place d'un chèque WonderBox, on m'avait remis de l'argent, il n'y aurait pas eu de période de péremption.
Le site Wonderbox fait pourtant apparaître en gros le terme d'échange "gratuit et illimité" et le niveau de satisfaction client, la notion de illimité est bien trompeuse et à la lecture du site QUE CHOISIR, la satisfaction client probablement surévaluée ...
Je souhaite également insister sur la procédure d'échange qui est loin d'être triviale. Lorsque l'on parvient au bout et que finalement un avoir est crédité on pense avoir fait le plus dur, hélas une nouvelle limite de 3 mois apparait juste derrière qui rend encore plus frustrantes toutes les démarches réalisées.
J'ai moi même de temps en temps fait des cadeaux Wonderbox, cette expérience amère m'en détournera dorénavant. J’encouragerai mes proches (ainsi que tous les lecteurs) à également faire preuve de plus d'imagination, voire, à revenir à la bonne vieille méthode du chèque bancaire dans une enveloppe.
Guillaume P.
artetene a écrit :Pourquoi se laisse-t-on prendre au piège ?
Il y a 3 ans, on m'a offert en cadeau un coffret wonderbox ; hélas, je regrette que mes proches n'aient guère eu plus d'imagination et tombe dans cette facilité.
J'ai essayé de faire plusieurs réservations correspondant à ce coffret pendant 2 ans et 1/2 ; en vain, à chaque fois, les prestataires étaient complets durant mes périodes de disponibilité : excusez-moi d'avoir une activité professionnelle !
En 03/2015, j'ai fait une prolongation du coffret qui arrivait à expiration en 04/2015. Le site m'a répondu que ma demande était prise en compte, mais la demande indiquait que je devais attendre un courrier que je n'ai jamais reçu.
La prolongation est de 3 mois. Evidemment, par inadvertance, c'est ma faute, c'est ma très grande faute, j'ai laissé passer la date limite de l'expiration et je comprends bien le discours du marchand du temple où le contrat prévoit que ... où la règle énonce que ...
Il paraît que je dois me taper sur la tête, car finalement c'est ma négligence, c'est ma faute. Comment disait-il déjà ce grand homme ? J'ai fait un rêve ... Oui, moi, j'ai fait un rêve que la vie en société pourrait être à dimension humaine et non dictée par des questions de profit.
Pardon de ma mauvaise humeur : des proches m'ont offert un coffret wonderbox (quel mot fallacieux !), ils l'ont payé me semble-t-il, la prestation n'a pas été rendue, mais elle a été bien encaissée.
Wonderbox, mon ami commerçant d'illusion, tu perds un client que tu n'as pas eu, mais qui te promet de faire la publicité que tu mérites. La conseillère téléphonique n'y peut rien ; bien entendu, c'est ma faute. Je rêve d'un monde respectueux ; où le commerce n'est pas synonyme de vol, or, celui qui perçoit un prix sans accomplir la prestation et sans scrupule ne peut se prévaloir d'aucun fondement moral, seulement de règles qu'il a lui même écrites et qui lui donnent l'idée du bon droit.
Même lâcher mon venin n'apaise rien, ne change rien ; seulement, j'espère que l'on n'y reprendra plus mes proches qui auront le bon goût de savoir qui vous êtes : Wonderbox, marchand d'illusion et non de rêve.
Je ne vous salue pas,
Jean-Marc Duhé