Bonjour,
N° de commande 00DYBFV76PN8M.
La situation : une enceinte amplifiée, commandée et livrée à Tahiti où je réside, tombe en panne, encore sous garantie. Je contacte le service client le 23 septembre 2016 et là commence le voyage en Absurdie.
Le 14 octobre après quelques mails ubuesques échangés avec le service client, le temps de bien leur faire comprendre la situation, une certaine Patricia T. me propose de retourner l'appareil par mes propres moyens, en me disant que "nous procéderons au remboursement des frais de retour à réception".
Je renvoie l'appareil avec le montant des frais d'envoi dans le colis (58.32 euros, hé oui, c'est loin la Polynésie !), la situation traîne un peu mais je finis par recevoir un remboursement du montant de l'appareil. En revanche, les frais d'envoi ont été oubliés.
Encore quelques mails au service client pour bien me faire comprendre (ils semblent avoir un peu de mal !) nous amènent au 27 décembre, où une certaine Céline Mayaud me propose un remboursement ou un chèque cadeau du montant des frais d'envoi. Je demande le remboursement, envoie un RIB et j'attends...
Rien ne se passe, je relance, échange quelques mails aux réponses exotiques avec le service, jusqu'à ce qu'une dame, Idaroussi Assoumani, m'annonce triomphalement le 19 janvier qu'elle m'a crédité un chèque cadeau de... 7 euros !
Je recontacte la susnommée Idaroussi pour lui expliquer qu'il y a une petite différence entre un chèque cadeau de 7 euros et le remboursement attendu de 58.32 euros. Elle supprime le chèque cadeau et m'annonce que le remboursement de mes frais d'envoi a eu lieu le 11 janvier, mais bien évidemment, je n'ai aucune trace de ce virement.
J'ai demandé à mademoiselle Assoumani une preuve du virement, ce qu'elle s'est engagée à me fournir, mais je pense que je peux lanterner encore longtemps avant d'avoir une réponse.
Donc pour le moment, j'en suis à 4 mois de conversations bigarrées, plus de 30 mails échangés avec le service client et dans l'attente du remboursement de mes frais d'envoi de 58.32 euros.
Evidemment, je raconterai la suite ici, parce que je n'ai pas l'intention de lâcher.