Notre habitation principale est assurée contre le vol.
Un courtier en assurance est venu faire la tour de la maison pour s'assurer des surfaces et des biens notamment lors de la mise en place du contrat.
Les ouvertures sont toutes équipées de volets roulants, et pour 2 vitrages "oeil de boeuf" qui ne peuvent pas être équipés de volets (ils sont circulaires - 80 cm diam) nous avons un vitrage retardateur d'effraction SP10.
Au mois de février nous avons été victimes d'un cambriolage et les personnes se sont introduites par un oeil de boeuf sans casser le vitrage mais par vandalisme des points de fermeture entre l'ouvrant et le dormant de ce vitrage.
La compagnie ne veut pas indemniser le cambriolage car elle nous oppose une clause du contrat qui veut que tous les ouvrants doivent avoir un volet roulant ou une grille de protection.
Le courtier n'est pas à l'aise dans ses pompes car il nous a proposé ce contrat en connaissant le bien et en pensant qu'il y avait une bonne adéquation entre le contrat et le bien à assurer.
Mes questions :
- la clause de la compagnie concernant la protection de notre oeil de boeuf est elle valable ou bien toute mise en oeuvre d'un système proportionné au risque (vitrage anti effraction) pourrait être considéré comme suffisant pour garantir le risque de cambriolage ?
- le courtier a t-il une responsabilité professionnelle opposable de nous avoir proposé un contrat qui ne peut satisfaire notre volonté exprimée d'assurer le bien contre le vol ?
- puisque le plus gros dégâts que je voulais voir indemniser dans ce cambriolage est cet ouvrant oeil de boeuf détruit (le larcin était ridicule, 75% de l'indemnisation concerne la fenêtre), puis je demander à l'assureur de le remplacer au titre de la couverture vandalisme ?
Merci par avance de m'avoir lu et peut être de vos réponses
