Bonjour,
Je reviens vers vous dans le cadre du courrier recommandé (et lettre simple en plus) que je vais adresser au bailleur.
Est-il légal de solliciter une réponse dans un délai strict à compter de la réception du courrier recommandé?
Si oui puis-je demander une réponse dans un délai de 5 jours? 8 jours? Le plus tôt serait le mieux.
Par ailleurs, le dégât des eaux subi depuis plus d'un mois à l'intérieur du logement résulte d'une toiture défaillante, j'avais déjà alerté le propriétaire il y a 1 an 1/2 du constat d'infiltrations dans le porche/sas d'entrée, lequel n'avait pas donné suite en arguant que cette partie (pourtant mentionnée au contrat) ne faisait pas partie du logement. Il n'avait à l'époque donc pas retourné le constat amiable rempli pour sa partie malgré la déclaration de sinistre que j'avais effectué auprès de mon assurance.
A l'époque, cette infiltration étant liée à la toiture, face à son refus de retourner le constat amiable contrerempli et signé pour le motif précité, j'ai pensé ne pas pouvoir faire plus dans ce dossier et ne pas avoir à financer des réparations incombant au propriétaire.
Suit je en tort d'avoir agi ainsi?
Aujourd'hui, le dégât des eaux subi me semble être une situation qui aurait pu être évitable s'il avait accepté de remplir ce constat car l'infiltration d'eau impactant mon logement depuis janvier est finalement la continuité de la partie de toiture qui était partiellement déjà défaillante à l'époque.
En totale contradiction avec ses dires de l'époque du reste, il m'a bien retourné cette fois le constat amiable contre rempli et signé avec la suite que vous connaissez, le rapport d'expertise concluant à une toitoure défaillante en de nombreux points.
Si je ne suis pas en tort de n'avoir pas fait faire et financé les réparations nécessaires en m'arrêtant à ses dires et à l'absence de constat amiable contrerempli et signé (mais est il bien obligatoire pour une assurance d'avoir la partie propriétaire remplie et signée pour faire réaliser une recherche de fuite ? Recherche qui aurait in fine abouti aux mêmes conclusions déjà citées dans mes précédents messages rendues par l'expertise):
- suis-je légitime dans mon rappel des faits du courrier LRAR a indiqué lui avoir déjà signalé une première constatation de dégâts des eaux à l'époque?
- et le fait qu'il n'avait pas retourné le constat pour le motif déjà évoqué?
- Evoquer cet historique me serait-il préjudiciable?
Si je ne suis pas en tort et légitime à rappeler cet historique, est il préférable de ne le faire mentionner que par mon Conseil dans l'hypothèse où mon LRAR ne serait malheureusement pas suivi d'un accord?
Merci d'avance de votre réponse,
Bien cordialement