Résiliation chez ORANGE

[nicolasnik]

Bonjour à tous

Voici mon histoire...

Le 22/09/2005, je téléphone au service client d'ORANGE, pour leur demander les démarches à suivre pour résilier mon abonnement, car je rentrais dans le cadre de l'article de loi 1184 du code civil.
Très gentiment, l'opératrice me conseille de leur faire un courrier (LRAR) et de leur joindre un justificatif de mon domicile et que d'ici 7 jours je ne serais plus abonner chez eux.
Ce que je fais le jour mème et je demande par la mème occasion un bon de portage, afin de garder mon numéro de téléphone.

N'ayant aucune nouvelle de leur part, je retéléphone au service client le 24/10/2005 afin de leur demander où en était mon dossier, l'opératrice me réponds qu'il ont plein de demandes et que ma propre demande ne peux etre traiter, dans l'immédiat...

De ce fait le jour mème, je renvoi un courrier (LRAR) et en leur signifiant, cette fois-ci, que s'ils ne faisaient rien, je ferais opposition du prélévement sur mon compte bancaire...

RIEN...

Alors je vais à ma banque...
Je fais opposition...
Mais je suis quand mème prélevé...???
Explication avec ma banque...
ORANGE à prélevé sous un autre numéro d'émeteur (???)
Demande de remboursement de ma banque...
Refus de celle-ci...
Alors plus qu'une chose à faire...
J'ai fermé mon compte bancaire...

Mais voila qu'ORANGE m'envoi un SMS en me signifiant de les rappeler au 700, parce qu'ils n'ont pu prélever...
je ne réponds pas...

Une opératrice essaye de me téléphoner, mais cela ne passe pas (1184 du code civil) et elle me laisse un message, me demandant de les rappeler, afin de trouver une solution pour le prélevement, sinon il me coupais la ligne sous 48h...(???)
je ne réponds toujours pas...

Et me voila aujourd'hui 24/12/2005, avec toujours ma ligne chez ORANGE et je ne sais plus quoi faire...

Merci de votre aide éventuelle
à bientot

[visiteur]

Article 1184 :
La condition résolutoire est toujours sous-entendue dans les contrats synallagmatiques, pour le cas où l'une des deux parties ne satisfera point à son engagement.
Dans ce cas, le contrat n'est point résolu de plein droit. La partie envers laquelle l'engagement n'a point été exécuté, a le choix ou de forcer l'autre à l'exécution de la convention lorsqu'elle est possible, ou d'en demander la résolution avec dommages et intérêts.
La résolution doit être demandée en justice, et il peut être accordé au défendeur un délai selon les circonstances.

Voilà, faut pas dire n'importe quoi : pas de décision de justice, pas de résiliation