Messagepar Pascontent69600 » 03 août 2015, 15:27
Ci-dessous le courrier recommandé qui partira demain à ce sujet !!!
RUE DU COMMERCE
44 / 50 avenue du Capitaine Glarner
93585 SAINT-OUEN Cedex
Oullins,
Le 03/08/2015
N° Client 23930196
LRAR
A l’attention du service comptable
Objet : remboursement service Express Illimité
Madame, Monsieur,
Le 7 juillet 2015, j’ai commandé pour la première fois sur votre site internet un brasseur d’air, commande 426872318. A cette occasion, vous avez souscrit pour mon compte sans mon accord votre service annuel Express Illimité d’un montant de 29,90 €.
Le premier désagrément est donc de voir que malgré le fait que je n’ai jamais validé cette option, preuve à l’appui mon bon de commande imprimé précisant un mode de livraison standard, ceci s’apparente fortement à une vente forcée. Je ne peux m’empêcher de penser que cela doit faire partie de votre mode de fonctionnement et que bon nombre de clients doivent se faire piéger, la première année du moins.
J’ai donc appelé le jour même votre service client leur indiquant votre erreur. Première impression satisfaisante (ce qui n’allait pas durer) me laissant penser que c’était juste une erreur de votre part car je reçois le jour même un mail m’indiquant que je serai remboursé de la somme de 29,90 € sous huitaine.
Mais voilà depuis le 7 juillet 2015, date de votre mail, la huitaine est largement entamée puisque cela fait quasiment un mois que j’attends votre soi-disant remboursement et ce malgré trois appels passés au Service Client 0811 74 26 50 (Appels facturés bien entendu) là aussi je ne peux m’empêcher de penser que cela doit faire partie de votre politique commerciale, bon nombre de clients devant se décourager face à la lenteur comptable émanant de vos services. Lenteur comptable qui se transforme d’ailleurs miraculeusement en rapidité fulgurante quand il s’agit de débiter le compte plutôt que de le créditer car cette somme de 29,90 € m’a été débitée le jour même de la commande passée chez vous, soit le 7 juillet.
Je vous serai donc reconnaissant de bien vouloir rembourser cette somme sous huitaine, et mettons-nous bien d’accord, nous parlons bien en jours et non en mois ! Si vous persistiez à faire durer un remboursement qui ne devrait pas mettre en péril la trésorerie de votre société, je serai contraint de présenter une demande devant le Juge de Proximité afin que de telle pratique soit condamnée et qu’une injonction de payer soit émise en votre encontre.
Bien entendu, tout en ayant conscience que vous n’en avez que faire, je vous confirme que je ne serai plus client de votre site, vos concurrents étant bien plus sérieux et efficaces.
Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes cordiales salutations.