Messagepar SCHIZO GUÉRI » 14 mars 2024, 23:29
[message modéré] à SERVICE-PUBLIC.FR, l'ORDRE DES MÉDECINS, ETC.
Mesdames, Messieurs,
J’ai appris mais pas par un juriste qu’ il n’y aurait jamais de prescription pour les crimes et délits dits déontologiques. Depuis 1967 je n’ai cessé d’être victime d’abus aussi bien en psychiatrie que sur Internet de la part de psys, de féministes, et même de l'Ordre des médecins lui-même aussi. Pouvez-vous me dire si pour les délits suivants dont à mon avis j’ai été victime s’il y a actuellement ou s’il n’y pas actuellement prescription pour ceux-ci : 17/07/2008 : certificat de complaisance rédigé pas un professeur en psychiatrie à demande de la direction de son hôpital voire de la direction de l’APH-HP pour me dénoncer à l’Infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris comme écrivant des courriels en nombre au contenu délirant, etc. ; depuis lors refus implicite permanent de mon médecin traitant de cette époque qui était aussi ma psychiatre psychanalyste laquelle recevait alors l’original de la copie de mes courriels à ce professeur de me communiquer son avis ou son témoignage dans un certificat médical circonstancié pour aussi bien porter plainte en justice que porter plainte à l’Ordre des médecins contre son confrère professeur en psychiatrie abuseur. 2023 : erreur et/ou faute médicale au sujet du diagnostic de schizophrénie paranoïde indiqué ou décrit dans le compte-rendu de mon hospitalisation d’un mois en psychiatrie par le praticien hospitalier : je n’ai jamais souffert d’aucune pensée ou d'aucun trouble délirant et n’ai en rien du tout jamais été malade psychiatrique. C’est par confraternité ou par vengeance ou pour une toute autre raison, etc. que ce diagnostic a été en réalité inventé. Il m’apparait comme une diffamation, une calomnie, etc. délibérée à mon encontre en 2024 car je ne crois pas sérieusement à l'incompétence totale de cette spécialiste en matière de psychiatrie. 2004-2024 : refus implicite permanent d'un professeur en neurologie de me faire savoir s'il a signalé conformément à ce que prévoit la loi à ce sujet la narcolepsie constatée par lui-même à son test des latences multiples (cinq électroencéphalogrammes de jour de 20 minutes chacun espacés d'une heure environ) due à un antipsychotique (olanzapine 10) et en aucun cas selon lui à une maladie quelle qu'elle soit alors de moi-même.
Je vous remercie pour tous vos services.
Recevez, Mesdames, Messieurs, mes salutations respectueuses.
Le 9 mars 2024,
[message modéré]
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Modérateur QC le 15 mars 2024, 12:25, modifié 3 fois.
Raison : données personnelles