Madame (ou devrais-je dire cher ordinateur, vu l’automatisme et le mécanisme de vos réponses, depuis plus d’une semaine !!!), pourquoi ne pas répondre précisément à mes questions, au lieu de ressasser indéfiniment les mêmes explications stériles.
Pour la dernière fois, je me permets donc de solliciter votre engagement clientèle et de vous poser, a nouveau, ces petites questions techniques et juridiques, restées sans réponse :
1°) Vous évoquez la qualité de votre produit, en mentionnant que celle-ci ne peut être mis en cause, soit !!!
Pour votre information, pure coïncidence, j’ai travaillé dernièrement sur les NORMES QUALITE et HACCP d’un produit de renom, conditionné dans du verre. De ce fait, permettez-moi de vous rappeler succinctement deux notions de QUALITE en la matière, et définies par des organismes tels que AFNOR et ISO (⇒IS0 9000).
Pour des articles pouvant présenter de potentiels dangers, le contrôle et la prévention sont considérés comme des NORMES DE QUALITE et reposent sur un ensemble de règles qui comprend :
- Une MAÎTRISE approuvée et règlementée permettant de ne mettre sur le marché que des matériaux sans risque.
- Une TRACABILITE permettant d’écarter à chaque instant tout élément sensible ou défectueux, susceptible de mettre en danger le consommateur (comme dans votre cas, un verre fragilisé ou ayant reçu un choc!).
En nous basant sur ces deux éléments, pouvez-vous donc maintenant, svp, définir clairement sur quoi repose exactement la qualité de votre article ? Expliquez précisément pourquoi un verre qui explose n’est pas un facteur de mauvaise qualité, mais juste la causalité d’un évènement antérieure, non contrôlable ?
Vu ma précédente étude, vous comprendrez que j’accorde une très grande importance à votre futur développement et explication (si vous dédaignez me répondre, bien entendu !!!)
2°) La règlementation exige d’informer les consommateurs par tous moyens adaptés (catalogues, lieux d’exposition, site internet, etc.) sur les risques inhérents aux éléments en verre, notamment en fonction de leurs caractéristiques techniques.
Pourquoi ni dans votre magasin, ni sur l’article, ce potentiel danger n’est mentionné ? Pensez-vous être en conformité avec la directive 2001/95/CE et la DGCCRF ?
3°) Ordonnance n°2005-136 du 17 Février 2005 / Art. L. 211-15 (Garantie commerciale), mentionne que, indépendamment de la garantie ainsi consentie, le vendeur reste tenu des défauts de conformité du bien au contrat et des vices rédhibitoires dans les conditions prévues aux articles 1641 à 1649 du code civil.
Etes-vous donc, oui ou non, responsables des articles défectueux vendus dans vos magasins ? Si oui, allez vous intervenir pour remplacer et poser gratuitement une nouvelle porte ?
Allez j’arrête la avec mes incessantes questions et mon charabia …
Pour conclure, un dernier petit conseil pratique et opérationnel : Au lieu de perdre votre temps à me répondre, intervenez plutôt auprès de votre magasin de Fréjus, pour faire remplacer et poser une nouvelle porte.
(... Néanmoins, si l’envie vous venait de me répondre, faites vous aider par vos services qualités et juridiques afin d’être, vous et vos collègues, cohérents et en phase avec les législations !!! ).

Meilleures salutations.