nous avons commandé une table en octobre pour une livraison prévue fin décembre 24.
Délai long mais accepté.
Aucune nouvelles du livreur la semaine de livraison prévue.
contact pris auprès de la CAMIF, le fournisseur ne sait pas où sont passés les colis ; La CAMIF s’engage à procéder à une nouvelle expédition et à nous informer du nouveau délai de livraison en l’absence d’une réponse du fournisseur sous 8 jours. Ah, bien !! bonne réaction...
8 jours après, toujours rien….un nouveau mail de la CAMIF nous indique qu’elle est toujours en attente d’une réponse du fournisseur...Aïe ! l’engagement promis n’est pas tenu ! La CAMIF se dégonfle ! Nous demandons que les engagements annoncés soient tenus.
Réponse de la CAMIF : une réexpédition est prévue pour une livraison fin janvier. A titre de dédommagement, une remise de 7 % est prévue pour la prochaine commande ! Merci mais, comme si nous avions le coeur et l’envie de repasser commande ? Et puis un vrai dédommagement n’est jamais sous condition ... ! Nous parvenons à négocier un petit dédommagement sans commande, un petit plus pour nous dédommager de toute cette attente et de ces retards ...
Fin Janvier arrive, toujours pas de nouvelles de la livraison ! Nous recontactons la Camif qui nous rassure par une livraison prévue la semaine suivante, ouf, tout va bien donc ! Nous recevons du transporteur une date de livraison, enfin ce sera pour le 20 février ! Mais nous n’avons toujours pas notre dédommagement…
Epilogue : trois jours après l’annonce de la nouvelle date de livraison, la CAMIF nous contacte pour nous informer que la livraison tant attendue n’aura pas lieu, les colis ayant été détériorés.
Comme la loi l’y oblige, la CAMIF nous a remboursé, mais nous n’avons perçu aucun dédommagement. Explications de la CAMIF : Si nous avions reçu la table, nous aurions eu le dédommagement, mais comme nous la recevons plus, nous ne bénéficions plus du dédommagement : comprendre : A la camif, quand on est livré, avec un retard de deux mois, le préjudice est réparé et le dédommagement est versé ; quand on n’est pas livré du tout, le préjudice n’existe plus ! Les quatre mois d’attente d’une commande réglée en totalité, le préjudice de n’avoir pu disposer de la table aux fêtes de fin d’année, tout cela, n’existe plus en l’absence de livraison. « nous restons à votre écoute » : apparemment, pas quand cela la dérange...
Ce fut un véritable parcours du combattant que plus jamais nous referons avec la CAMIF, loin des attentes de sa clientèle et des bonnes pratiques commerciales.