Sinequae

Messagepar **Marie lameche** » 17 mars 2023, 13:02

Référence du courrier reçu ce jour : EOS France (CACF 31/01/2017). Le montant de 6198,98€ est à régler sous 48h sous peine de saisie bancaire, véhicule, etc. Le détail des intérêts depuis le 18/10/2004 à ce jour. Je ne sais pas de quoi il s'agit. Le cabinet a t'il le droit de mettre ses menaces à exécution ?

Messagepar **MasterGone** » 17 mars 2023, 13:21

Avec autant de détails, c'est sûr que l'on va pouvoir vous répondre de manière précise...

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Messagepar **François38** » 17 mars 2023, 13:29

Avec autant de détails, c'est sûr que l'on va pouvoir vous répondre de manière précise...

Et en plus la demande est formulée avec une si exquise politesse que ce serait dommage de ne pas y répondre.

Messagepar **noss8** » 17 mars 2023, 15:28

Pour plus de renseignement, voir ici:
https://eos-france.com/
Section débiteurs.
Sans jugement pas de saisie.

Messagepar **François38** » 17 mars 2023, 15:44

Sans jugement pas de saisie.

J'ajouterais même : sans jugement réputé contradictoire.

Messagepar **Marie lameche** » 17 mars 2023, 19:49

Sans jugement pas de saisie.
J'ajouterais même : sans jugement réputé contradictoire.

Pour plus de renseignement, voir ici:
https://eos-france.com/
Section débiteurs.
Sans jugement pas de saisie.

Avec autant de détails, c'est sûr que l'on va pouvoir vous répondre de manière précise...

Messagepar **justedroit** » 19 mars 2023, 08:28

Bonjour quand même Marie Lameche,
A votre demande de savoir si cette société de recouvrement a le droit de mettre en exécution sa menace de saisies, ma réponse est non sans la présentation de la copie du jugement revêtue du cachet de sa formule exécutoire, à savoir le texte suivant :

« RÉPUBLIQUE FRANÇAISE - Au nom du peuple français - En conséquence, la République française mande et ordonne à tous huissiers de justice, sur ce requis, de mettre ledit arrêt (ou ledit jugement, etc.) à exécution, aux procureurs généraux et aux procureurs de la République près les tribunaux judiciaires d'y tenir la main, à tous commandants et officiers de la force publique de prêter main-forte lorsqu'ils en seront légalement requis. En foi de quoi, la présente décision a été signée par le Président et le Greffier. »

Et si en main de cette copie, le délai de prescription d'exécution n'est pas frappé de sa prescription.

Contentez-vous de répondre à cette société que vous n'avez pas connaissance de cette dette, et qui lui appartient d'apporter la preuve dui contraire.

Messagepar **François38** » 20 mars 2023, 15:33

Ouais non, ferme ta gueule

Il est assez stupéfiant de constater le nombre de cas qui fréquentent ce forum; c'est pour cela qu'il ont tant de malheurs.

Messagepar **Marie lameche** » 20 mars 2023, 19:29

Re bonjour. Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour mon manque de politesse. L'anniversaire du décès de maman le jour où j'ai reçu ce courrier .. Aujourd'hui appel téléphonique ( ils ont trouvé mon numéro de portable). Je n'ai pas décroché et le message stipulait une dette Finaref. Les derniers versements que j'ai fait datent de 2005 à un huissier. Perte d'emploi et gros problèmes financiers, depuis plus rien à part quelques courriers de EOS auxquels je n'ai pas donné suite. L'huissier aurait revendu ma dette ? Ce qui m'inquiète c'est que j'ai lu qu'ils bloquent des comptes bancaires même s'ils n'en n'ont pas le droit. Pourriez vous me le confirmer ? Puis je leur écrire que je ne sais pas de quoi il s'agit ? Dans leur courrier les intérêts sont calculés depuis octobre 2004 . Y a t'il forclusion ? Merci d'avance

Messagepar **justedroit** » 21 mars 2023, 08:10

Bonjour Marie lameche,
Oui, votre créance a fait l'objet d'une transaction entre votre créancier l'organisme de crédit et cette société de recouvrement.

Vous avez le choix de la riposte :

Soit vous vous passez de répondre à celle-ci la dédaignant mais elle risque de s'acharner sur vous.

Soit vous y répondez par LRAR comme précédemment expliqué disant que vous n'avez pas connaissance devoir quoi que ce soit à qui que ce soit, mais que dans le cas contraire, vous demandez à la prétention de son paiement, copie du jugement revêtu de sa formule exécutoire non prescrite à défaut de quoi, toute relance de leur part sera considérée comme un harcèlement sévèrement sanctionné pénalement et plainte sera déposée auprès du Procureur de la République.

Par ailleurs, un Commissaire de justice doit être muni de ce titre exécutoire valide pour opérer une qulconque saisie notamment sur votre compte courant.

Au surplus, vous y seriez avisée à l'avance vous permettant de la contester.