J’ai acheté récemment chez Cultura de Sainte-Geneviève deux liseuses de 250 et 150 euros. Quatre mois plus tard, le modèle InkPad 3 TEA Vivlio (le plus coûteux) cesse de fonctionner. L’écran est figé et il n’a fallu que deux secondes à la préposée du SAV pour déclarer qu’il s’agissait d’un « écran cassé », ajoutant immédiatement que ça n’était donc pas réparable et pas pris en compte par la garantie.
Sachant que ledit écran ne présente pas la moindre trace de bris ou de choc, que l’appareil n’est jamais tombé et que, par définition, une liseuse ce n’est qu’un écran, je trouve cette réponse scandaleuse. A posteriori, je me suis rendu compte que mon cas n’avait rien d’exceptionnel, ayant trouvé sur divers sites (y compris celui de Cultura) plusieurs témoignages concordants : cette liseuse est fragile et « se casse » même simplement en appuyant dessus, ce qui est un comble pour une tablette tactile ! Et parfois au bout de quelques jours seulement ! Le problème semble donc parfaitement connu, comme j’avais d’ailleurs cru le comprendre de l’attitude de mon interlocutrice. L’offre d’un remplacement à 50 % du prix n’est pas une réponse adéquate pour un produit qui, manifestement, fait l’objet d’un défaut de conception ou de fabrication.
J’ajoute que mon avis sur le produit n’a pas été publié par Cultura, contrairement à d’autres témoignages négatifs.