ce "mal du vendre pour vendre" est fort contagieux
C'est comme pour les vacances où l'on veut arriver immédiatement à destination, tout faire très vite et payer sans vraiment apprécier.
Dans l'économie capitaliste,
seul le profit est considéré et le maximum de profit...
peu importe ce que l'on vend, peu importe le client, peu importe la satisfaction... on a gommé le plaisir de vendre un bon produit pour satisfaire les besoins d'un client.
C'est pourtant ce qui devrait légitimer la rémunération comme moyen d'échange.
Mais ce système de profit pour une minorité semble
reconnu comme le seul par ceux qui nous dirigent et personne ne bronche ou si peu.
tout le monde paye et basta !
Eh oui, tout le monde trouve çà normal...
on en vient même à être critiqué quand on se plaint. Ces gens-là sont maso et
les exploiteurs de la crédulité humaine en profite au maximum, peut importe la misère et la pollution qu'ils engendrent... après tout,
si çà finit mal ils envisagent même d'aller vivre sur une autre planète... mais que feront-ils sans client ?
Qu'ils fassent du fric pour le fric... c'est leur motivation, mais
au moins que les produits et services qu'ils vendent fonctionnent durablement. Les
gouvernements pourraient peut être au moins
obliger à cela.
En informatique, j'utilise les systèmes libres.
Moi aussi, je suis sur linux depuis 2006, je suis passé par Mandriva, Debian, Ubuntu...
çà marche sans souci et le matériel dure plus longtemps. Je change de machine quand je veux et çà me coûte moins cher.
j'ai pris un portable de base dans un magasin et pris l'offre à 2 euros.
Au moins, on peut
choisir entre l'utilité et le plaisir... et ne pas être un
consommateur-victime qui fait comme les autres
sans comprendre pourquoi.
Oui il y a encore des artisans, des restaurants qui travaillent avec conscience, compétence et goût du travail bien fait... ils n'ont pas toujours le succès mérités et je dirais presque égoïstement "heureusement" pour ceux qui les recherchent et les apprécient.
Dans le monde d'aujourd'hui, on n'a malheureusement pas toujours le choix car on est parfois trahis et on a du mal à l'accepter. On choisi consciencieusement, on donne sa confiance... et çà bloque. Le pire c'est quand
le dialogue est impossible... sinon,
on accepterait de vivre dans un monde imparfait mais solidaire.
Les marchands d'aujourd'hui devraient parfois
se mettre à la place du client et réfléchir "honnêtement" avec compréhension.
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tiens, il est 16 h 14 et
la banque postale ne m'a toujours pas appelé suite à mon message. Si j'étais responsable d'une banque, je pense que je prendrais les mesures
pour que le client qui me fait vivre soit recontacté dans les deux heures qui suivent sa demande.
jp