Attention très sérieux :
Ne travaillez jamais avec la société ATES ou n’importe quelle autre société gérée par monsieur [Message Modéré]. (voir article de presse ci-dessous)
Si vous avez des carrières à faire combler pour faire construire ou rénover votre maison, ne signez rien avec eux.
Le mode opératoire de la société ATES ([Message Modéré]) est le suivant :
- allécher le client avec un devis très compétitif (moitié voir 1/3 des prix du marché)
- impressionner avec leur expérience dans le domaine (en effet [Message Modéré] a travaillé à l’IGC en tant qu’ingénieur, voir ci-dessous les raisons pour lesquelles il a été en prison)
- manipulation dans le but de faire passer les fonctionnaires de l’IGC pour des méchants
- réalisation partielle ou nulle des travaux requis par l’IGC
- faux et usages de faux
En un mot ne travaillez jamais avec [Message Modéré], société ATES, ils n’auront aucun scrupule à vous prendre tout votre argent et vous laisser dans la galère la plus totale (avec un chantier bloqué et travaux à refaire complètement à vos propres frais)
Que ce soit aussi bien pour des comblements de carrières que pour tout autre travaux, ne travaillez jamais avec eux
Article de presse Le Parisien (24/10/1986) :
Scandale du trou de l'IGC, avec les conducteurs de travaux, les ingénieurs,.... condamnés
2 ingénieurs et 40 employés écroués
Pots de vin à la ville de Paris
Deux ingénieurs des carrières de la ville de Paris : [Message Modéré], ainsi que quatre surveillants de chantier employés de la ville, viennent d'être inculpés par M. Jean Louis Beauguitte, juge d'instruction au tribunal de Paris, de corruption passive de fonctionnaires et de faux et usage de faux. A l'exception de M. Molès, laissé en liberté sous contrôle judiciaire, ils ont tous été écroués.
D'autre part, M. Claude Pompil, PDG de la société "La Sousterraine" dont le siège social est à Marseille, un ingénieur : M. Paul Jean Antoine et quatre chefs de chantier de cette société ont été inculpés de faux et usage et de corruption active de fonctionnaires. Ils ont tous été laissés en liberté à l'exception de M. Jean Antoine qui a été écroué.
La justice reproche aux fonctionnaires de la Ville de Paris d'avoir perçus des pots de vin de la part de la société "La Souterraine" afin de faire de faux bons de passage de camions transportant des matériaux destinés à combler les carrières de la Ville de Paris. Là oà¹, par exemple, un camion de sable était suffisant, le passage sur le chantier de deux, voir trois camions, était enregistré. Les chefs de chantier établissaient les faux bons ; les surveillants, quand à eux, les avalisaient.
L'affaire a été dénoncée par un employé intérimaire de "La Souterraine". La Ville de Paris, quand à elle, a porté plainte. Le montant du préjudice subi par la ville n'est pas encore déterminé et pas d'avantage les pots de vin perçus par chacun.