Bonjour à tous,
Je vais vous faire part de ce qui est pour moi un nom respect de la loi Châtel de la part de la Société SFR qui m'a valu de faire opposition à leur prélèvements tant qu'il n'était pas capable d'accéder à ma demande.
Je vous explique mon cas :
- le 13 Août 2014 je souscris à un forfait mobile chez SFR pour 24 mois
- le 26 Avril 2015 je change de forfait avec un engagement de 12 mois à 80€ par mois
- le 26 Avril 2016 je demande un décompte de mes frais de résiliation car le site m'indique des frais de 320€ qui selon moi est faux. Sur Twitter le support me confirme qu'il semblerait y avoir un soucis et qu'il font remonté. Réponse sous une semaine garanti. De mon côté je souhaitais résilier au 1er mai et payer environ 80€ de frais.
- le 3 mais, je relance, ce n'est toujours pas bon, on me redis que j'aurais un retour sous 1 semaine.
- le 10 mais toujours pas d'avancement. Agacé je leur annonce faire opposition aux prélèvements et spécifiant qu'ils m'avaient fait perdre mon temps et mon argent et que je ne verserai plus un centime tant qu'ils ne seront pas capable de calculer correctement mes frais (depuis silence radio).
- en juin, je reçois un email de SFR me signifiant qu'il y avait un impayé, je répond en expliquant le problème et en demande explicitement que je voulais une résiliation au 1er mai et que j'attendais une facture correcte de frais de résiliation. Aucune réponse
- Contentia prend alors le relais avec leur courrier menaçant me réclamant 230€ (c'est bien ils prennent des montant au pif). Au bout du deuxième courrier je leur envoie un recommandé en leur expliquant la situation avec document à l'appuie signalant que SFR n'a jamais répondu à ma requête et que j'avais alors fait opposition.
- Début septembre je reçois un email me signifiant que suite à mon courrier je devais les appeler. J'ai alors au téléphone une dame qui d'une part se moquait de ce que j'expliquait et qui d'autre part n'avais sans doute jamais étudié mon courrier. A la fin on me dit "appelez le 1014 et voyez avec SFR directement".
- J'appel alors SFR et étonnement tu tombe directement vers une personne qui apte à comprendre le dossier. Et voici ce qu'elle m'explique :
"En Avril 2015 vous avez souscrit un nouveau forfait pour 1 an, de ce fait la loi Châtel n'est alors plus applicable sur votre contrat et de ce fait la loi Châtel n'est pas applicable jusqu'à la fin de l'engagement initiale car "il prennent le dernier engagement souscrit" et annule le précédent (traduisez ils font ce qu'ils veulent)".
De là je lui dit :
- Que je ne puisse bénéficier de la loi de Avril 2015 à 2016 ne me posait pas de problème c'était logique. Par contre de Avril 2016 à Août 2016 j'estimais que l'on retombait dans mon engagement initial de 12 mois.
- Elle m'explique que non, mon deuxième contrat enlève mon éligibilité à la loi
- Je lui dit alors que dans ce cas je suis sensé être libre de contrat en Avril 2016
- Elle me dit alors que non j'ai pris un engagement de 12 mois, mais qu'ils prenaient en compte mon ancien engagement se terminait en Août
- De la je lui dit que ce n'est pas logique car au final en Avril 2016 je ne me suis pas engagé 1 an et s'agissant du même contrat, l'engagement réel est alors 16 mois et rentre alors dans le cadre de la loi Châtel
- Et on me dit "non"
Je ne suis pas juriste mais des contrats j'en ai déjà fait, et ma modification en avril 2016 est alors un avenant à celui-ci, sur cette avenant une date de fin de contrat est alors repris et de fait mon engagement signé lors de cet avenant est de 16 mois pas 12 comme l'indique l'offre (car mon avenant se terminait avant la fin de l'engagement initial). Pour moi pour que leur histoire soit valable, la date de fin du contrat aurait du être ramené en Avril au lieu d'Août et auquel cas en Avril j'étais sensé être libre de tout contrat.
J'ai beau relire la loi, je ne vois en rien quelque chose qui peut justifier ce qu'ils me racontent et qu'on est alors dans le cadre d'une interprétation de la loi là ou elle n'est pas claire.
Y a t'il des juristes dans l'assemblée qui peuvent me dépatouiller et essayer de me donner un point de vu juridique avec les textes de loi et me dire si oui ou non j'ai tort dans ma démarche ?
NB: Au moins si par folie ils décident de porter le dossier au tribunal j'aimerai savoir si je suis dans mon droit (qui depuis le début me parait logique) ou non.
Merci d'avance !