le vendeur n'a pas à jouer au chat et la souris :il doit signaler à l'acheteur tous les éléments non conforme lors de sa 1ere mise en circulation.Cela ne constitue pas un vice caché car l'acheteur aurait pu (du, à vrai dire) le découvrir par un examen superficiel lors de l'essai.
S'agissant donc d'un véhicule d'occasion acquit le 11/04 avec ses serrures électriques des portes arrière défectueuses, ne constituent pas de fait un vice caché de la chose vendue, dés lors que ce véhicule n'est pas impropre à l'usage auquel on la destine (il n'est pas en panne ou n'a pas un défaut tel que vous ayez des difficultés à vous en servir).
Vous répondez sans avoir lu, visiblement : achat à un particulier.Ma suggestion est donc d'abord, de vérifier si votre probable garantie commerciale prend en compte ce genre de réparation, à défaut de quoi ensuite, d'actionner un ou plusieurs des 3 leviers à votre disposition.
Ergo, vos développements sur la garantie commerciale et la garantie légale de conformité sont sans objet.
l'usure et autres éléments qui ne fonctionnent pas doivent signalés et PAR ECRIT
le blabla pour culpabiliser l'acheteur doit être sanctionné sans passer par la case faire la morale :que l'acheteur transporte des enfants ou ne transporte pas d'enfants.
je sais aussi tenir les mêmes propos que françois38 quand un client passe à la caisse et constate que le prix payé est supérieur au prix affiché
exactement les phrases de FRANCOIS38 "tant pis pour vous , vous auriez du vous rendre car vous avez scannette pour se rendre compte" "donc je ne rembourse pas DEUX FOIS la différence et/ou un bon d'achat comme avant 2007" "estimez vous heureux que je vous rende la différence" "et jarre naque le prochain client"
En science du comportement la phrase "James dit n'importe quoi" signifie "François manipule la victime"