La visite état des lieux du véhicule avant que je prenne le véhicule a été très rapide. Elle n’a probablement pas dépassé la minute, je n’exagère pas et ne suit pas dans l’approximation quand j’écris cette duré. Les défauts ont été constatés brièvement, sans être exhaustifs sur les détails. J’ai insisté auprès de l’agent pour faire l’état des lieux à mon propre rythme, mais il m’a pressé de le suivre et il m’a indiqué qu’il connaissait bien le véhicule et que ce serait lui aussi au retour. L’état des lieux du départ s’est donc réalisé avec diligence.
J’ai donc fait confiance à cet agent et j’ai pris possession du véhicule.
Au retour, j’ai fait le plein bien que la jauge indique déjà le niveau plein. En présence d’une douzaine de personnes qui m’ont aidé pour mon déménagement, j’ai fais seulement une 40 aine de kilomètre sur une seule après‐midi de dimanche jusqu’à 17H. Et lors de la contre‐visite de retour, l’agent –un autre agent accompagné du premier agent‐ a constaté un dommage qui n’était pas présent à leur connaissance. Il s’agit d’un léger enfoncement d’une surface petite et difficile à voir sauf en prêtant attention.
J’ai expliqué que je n’ai jamais fait une mauvaise manoeuvre d’ouverture et de fermeture des portes, et que ce dommage ne m’était pas imputable. Le premier agent qui avait fait la première visite a fait mine de me rassurer, qu’il allait vérifier l’historique, les photos et les précédent rapports d’état des lieux et qu’ils allaient vérifier et me rappeler ultérieurement pour confirmer que tout va bien. donc agréé encore une fois. Les agents ont fait mine de me rassurer et m’ont invité à signer à nouveau l’état des lieux de retour constatant ce dommage nouveau alors que je n’étais pas d’accord et que j’ai bien répété plusieurs fois que je n’étais pas d’accord.
Par la suite, les agents m’expliquent par téléphone qu’ils n’ont pas réussi à trouver le dommage dans les cas précédents et dans leurs historiques et que ce dommage allait m’être facturé.
Je constate qu’i il y a un manquement évident de ces agents qui travaillent dans la diligence et la rapidité lors de la livraison du véhicule et qui font ensuite du zèle au retour à la réception du véhicule. Je suis d’accord que l’on procède avec des états des lieux à l’aller et au retour, et que les dommages soient imputés aux clients si nécessaire, mais cela exige que l’état des lieux de départ soit fait dans des conditions correctes, avec le temps nécessaire. On ne peut pas accepter qu’un état des lieux soit bâclé à l’aller et fait
avec zèle au retour. C’est une façon de faire qui conduira à du pur arbitraire au retour du véhicule.
Pour attester de ma bonne foi, J'ai invite les responsables d’ADA à Toulouse ou Paris d’aller expertiser ce véhicule et faire un état des lieux complet par une expertise et vous constaterez comme moi que l’état des lieux (évidement non exhaustif) qui est le mien, et que l’état réel du véhicule ne correspondent pas, et que n’importe quel dommage non mentionné pourrait m’être imputé de la même manière. En effet, Je pense qu’en plus de ce prétendu dommage qui m’est imputé, il y a probablement d’autres dommages qui ne sont pas également mentionné dans l’historique du véhicule. J’ai même constaté que lors de la remise par le client qui m’a précédé que son état des lieux de retour à lui n’ont été réalisé avec une vitesse surprenante (j’attendais au guichet et donc en fonction de cette circonstance, l’agent gère à sa guise la vitesse d’inspection).
J'ai également trouvé sur un forum Boursorama, un témoignage exactement équivalent qui présente le même problème à la même agence de Toulouse.Ce qui démontre que le responsable de cette Franchise a l'habitude d'arrondir son chiffre d'affaire avec ce genre de pratique.
Après consultation de mon compte bancaire j'ai constaté un prelement de 89 euro pour le prix de la location et plus de 580 euros pour sans doute ce dommage, soit 669 euros pour une location d'une journée pour une quarantaine de km (j'avais en plus rendu le véhicule avec un vrai plein à déborder le bouchon !). Je suis étonné aussi que ce dommage aussi mineure puisse être facturé également de façon abusive. Un dommage inexistant. D'une part le dommage m'est attribué de façon abusive, l'état de lieu de départ et de retour est également réalisé de façon frauduleuse. Et enfin la facture présenté soit disant après un passage d'expert est fidèle au reste. Une procédure qui ressemble bien à une [Message Modéré] bien organisé et bien huilée qui peut être échappe au suivi du siège à Paris. Je suppose que l'agence de Toulouse est une franchise.
Un avocat a écris pour moi au service client de Paris qui a répondu avec une lettre qui répond bêtement que c'est écrit dans le règlement et le contrat. Avec ce type de pratique, ADA location ne va certainement pas survivre devant l'arrivée des Hyper dans le secteurs. Ceux ci en plus du prix ont un avantage, une plus grande honneteté, J'imagine mal Leclerc, Carrefour ou Hyper U etc... affecter à un client un faux dommage à 600 Euros. Et prelever ça dans la foulée.

Les autorités publiques devrait interdire cette pratique des loueurs de pouvoir bloquer une somme sur la carte bleu au départ. En cas de problème le client n'a aucun recours. C'est abusif. 670 Euro pour une location chez ADA location pour une journéé d'un utilitaire. La prochaine fois j'irai chez les Hypermarchés qui au moins sont forcé d'être plus honnête.