Dans la mesure où l'information est disponible à qui en fait la demande (via le système Histovec, une des rares création étatique "positive" dans le domaine automobile), cela semble difficilement recevable : les acheteurs ont choisi de ne pas vérifier.Le second, est le DOL (dissimulation) que s'il vaut pour le silence du vendeur, que sachant la vérité sur le véhicule accidenté, vous ne l'auriez pas acquit ou alors,
Pas d'accord François38.Dans la mesure où l'information est disponible à qui en fait la demande (via le système Histovec, une des rares création étatique "positive" dans le domaine automobile), cela semble difficilement recevable : les acheteurs ont choisi de ne pas vérifier.
Je ne comprends pas bien à quel titre l'acheteur devrait vérifier le carnet d'entretien et pas l'histovec, qui est justement, et au contraire du carnet d'entretien, destiné à son usage exclusif.
En effet, d'une part, le consommateur n'a pas à rechercher quoi que ce soit lors de l'acquisition du véhicule mais seulement faire son état des lieux sur tout ce qui est apparent, vérifier la carnet d'entretien ..
Précisément, mais c'est à l'acheteur de le demander au vendeur puisque cela suppose la communication de l'adresse email de l'acheteur au vendeur; il n'y a pas plus obligation de fournir l'histovec que le carnet d'entretien.
Quant à l'Histovec je croyais encore, que c'était au vendeur de fournir le rapport d'histovec à son acheteur, et non son contraire.
Vous ignoriez que ce véhicule avait été accidenté. Vous pouvez vous retourner contre le vendeur, car il est tenu de garantir les vices cachés (art. 1641 du code civil). En présence d’un vice caché, l’acheteur a le choix entre demander la résolution de la vente et demander une diminution du prix (art. 1644 du code civil).
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