Je suis client de cette banque depuis plusieurs années. En 2019, j'ai voulu solliciter un prêt travaux pour une rénovation de ma résidence principale, aux fins de la mettre aux normes PMR, pour mes 2 enfants invalides. Je trouve les artisans, je fais établir les devis et nous montons le dossier d'offre de prêt avec ma conseillère, qui m'explique que cela ne poseras aucune difficulté. Je suis fonctionnaire actif depuis 27 ans et demi en poste dans mon emploi à temps plein. Une semaine avant de signer l'Offre je suis victime, à 49 ans d'un léger AVC qui m'oblige à une hospitalisation d'une semaine. A l'issu je sors du CH, et après un peu de réeducation, je reprend mon travail à temps plein, et sans aucune perte de salaire perte de salaire.
Entretemps, ma conseillère avec qui j'ai contracté le contrat me fait signer l'offre de prêt et je précise simplement que j'ai été victime d'un léger AVC. On me laisse entendre que l'Offre de prêt peut être tout de même accorder avec une surcotisation au niveau de l'assurance emprunteur du groupe Crédit Agricole. Je fais confiance à ma conseillère. Commence alors l'examen de mon dossier médical par le médecin conseil du groupe, qui emet un refus au 3 stade de la convention Aeras. Je ne desèspère pas et je recherche seul une délégation d'assurance par le biais d'un courtier en assurance. Le courtier du groupe magnolias, me comfirme que je peux être éligible à une délégation d'assurance et me demande de lui présenter l'offre de prêt de ma banque pour calculer le taux de l'assurance. Je me retourne vers ma nouvelle conseillère, qui me renvoie une offre de prêt , qui en plus de la délégation d'assurance, demande à ce que j'hypothèque mon bien devant notaire, à mes frais bien sur. Je me renseigne auprès de ma protection juridique qui me comfirme que c'est légal, mais un tant soit peu excessif. Je n'ai que 49 ans et suis encore en activité à plein temps et à plein traitement (ce que j'ai justifier à mon banquier). Je vais renoncer à ce prêt, mais je me sens laisser pour compte par ma banque et en plus alourdie de frais supplémentaire, à ma demande de crédit et afférent à un acte d'hypothèque de ma maison devant notaire. Bilan: Je subit la double peine, je tombe malade, on refuse de m'assurer et de plus on m'affuble en cas de délégation d'assurance du prêt par un autre assureur d'une clause hypothècaire en sus.J'EN PRENDS MON PARTI ET DES QUE POSSIBLE JE CLOTURERAIS MES COMPTES ET QUITTERAIS CETTE BANQUE SANS HAINE NI VIOLENCE. ON ME CONSEILLE DE ME PLAINDRE AUPRES DU MEDIATEUR DU GROUPE CREDIT AGRICOLE. JE N'AI PAS DE TEMPS A PERDRE NI D'ENERGIE JE RESERVE MA FORCE A MES DEUX GARCONS INVALIDES