Bonjour, je crois qu''il faut élargir la question des désodorisants intérieurs et de leurs molécules au domaine des parfums, eaux de parfums et fragrances contenues dans les crêmes corporelles et autres gels (dé)coiffants.
En effet, mon fils utilise depuis maintenant deux ans des gels coiffants et des crêmes corporelles qui contiennent des molécules qui, même après de nombreux lavages, persistent dans les vêtements, coussins, serviettes, litéries ... Depuis un an, mon fils souffre d''une toux chronique non asthmatique et de laryngites(il est non-fumeur) et moi-même (terrain asthmatique) remarque des brulures au niveau des poumons dès que je m''approche de ses cheveux ou des vêtements qui avaient été en contact avec ces produits cosmétiques. Depuis, je sais détecter à 3m de distance, dans la rue et bien après son passage, la personne qui utilise du Paco Rabanne ligne Black Beauty ou encore du Boss. C''est très inquiétant. Quelles sont au juste ces nouvelles molécules qui laissent des traces aussi fortes voire agressives, et aussi stables et persistantes ? Quelles sont leur éventuels effets sur la santé ? Je sens (littéralement) que nous sommes face à un problème qui pourrait devenir un véritable enjeu de santé publique. CW, Maître de Conférences à l''Université de Nantes