Un témoignage supplémentaire pour dissuader quiconque hésiterait encore de mettre les pieds chez Conforama. Il s'agit d'une enseigne qui n'a absolument rien à faire de la satisfaction de ses clients, et qui, j'en suis sûr, mourra dès lors qu'amazon trouvera le moyen de vendre des meubles et de les livrer.
Au mois d'octobre, j'ai eu le malheur de vouloir leur acheter une armoire. Je pourrais en faire deux pages, mais je vais essayer de résumer succinctement
- Le modèle que je désirait n'étant plus disponible en stock, j'achète pour un prix réduit le modèle d'expo, ainsi qu'une machine à laver. On me vend en magasin une livraison à domicile de mes articles.
- Le jour de la livraison, on ne me livre que la machine : pas d'armoire. Je ne comprends pas
- Après une enquête longue et épuisante (vous connaissez la réactivité de leurs standards téléphoniques) j'apprends que les produits d'expo ne sont jamais livrés à domicile. On m'a donc vendu une livraison impossible.
- Je parviens en me rendant en magasin à obtenir une livraison en bas de chez moi. Une fois le produit arrivé surprise : pas de manuel, pas de quincaillerie, et il manque deux planches!
- Je me rends en magasin pour protester et exiger ce qui manque. Réponse : « Si vous n’êtes pas capables de monter l’armoire tous seuls, vous n’avez qu’à la ramener en magasin, et nous vous rembourserons ». Evidemment, je vais redescendre les 100kg d'armoire et les ramener à pied en magasin !
- Avec l'aide de mon père plus bricoleur que moi, j'achète planches, vis et clous nécessaires et nous parvenons à monter l'armoire. Evidemment, les matériaux ne sont pas gratuits, et cela alourdit ma facture.
- Extrêmement mécontent, j'écris une lettre recommandée au service client au mois de novembre pour réclamer un remboursement au moins partiel de l'armoire, car livrée dans un état inutilisable. Ils me répondent bien gentiment qu'ils ont "transmis ma requête au magasin concerné". Je n'ai pas eu de nouvelles depuis, et cela fait 2 mois !
- Bref, depuis, et si je n'obtiens pas de retour, je me suis engagé à ne plus jamais remettre les pieds là-bas !