Consternant, c'est le mot de votre piètre argumentation depuis son début et de la lecture que vous faites de cet Arrêt pour en finir.
Pardonnez, Votre Grandeur, de vous avoir laissé penser à une remise en cause de vos immenses sagesse et savoir...
En effet, vous avez répondu à notre internaute en lui citant le c) de l'article 7 de la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989, où il énoncé que le locataire doit répondre des dégradations qui surviennent dont les locaux dont il a la jouissance.
Oui.
Et c'est pêcher, je le reconnais, Votre Immensité.
Or, en l'espèce, il ne s'agit aucunement d'une dégradation survenue dans les locaux mais d'une casse d'un élément qui compose le logement.
Honte sur moi!
Vais-je pouvoir survivre aux prétentions manifestement erronées des dictionnaires des synonymes.
Puis contrariant, vos propres propos, vous ajoutez naïvement, je vous cite, que :
"Votre bailleur doit néanmoins réparer le dommage suivant les dispositions de l'article 6 de la loi précitée", ajoutant cerise sur la gâteau, "que les frais occasionnés de l'obligation du bailleur seront imputables à notre internaute, le locataire" ; le comble de la connerie !
Ha! Vous avez percé mes faiblesses et me comblez neanmoins, pauvre de moi!
Car, je le rappelle l'article 6 que vous citez, est l'obligation du bailleur de délivrer au locataire un logement en bon état d'usage et de réparation et des équipements en bon état de fonctionnement, de lui assurer sa jouissance paisible, d'entretenir les locaux en état de servir à l'usage prévu par le contrat ;
ce qui précisément n'est pas le cas.
Ha! Messire, messire, vous me crucifiez!
Par pitié, poussez plus avant votre doigt potelé posé sur le dernier mot pour découvrir ce qui se cache encore sous votre auguste menotte ; que suivent aux mots parfumés que vous daignez délivrer à mon inculture trois paragraphes, dont deux précités où le c qui dispose :
D'entretenir les locaux en état de servir à l'usage prévu par le contrat et d'y faire toutes les réparations, autres que locatives, nécessaires au maintien en état et à l'entretien normal des locaux loués ;
Ha je m'en veux d'en citer les termes, alors qu'ils ne sont que futilités d'articles d'ordre public, dont vous ne pouvez qu'écarter l'existence d'un revers de main dédaigneux.
Puis, vous poursuivez, conseillant à notre internaute de se reporter à son contrat d'assurance habitation, paragraphe «évènements garantis » complétant, on croit rêver, que je vous cite : « Les évènements garantis à ce titre sont limités à ceux garantis en dommages (donc incendie et DDE, pour faire court) !!!!
Je me couvre la tête de cendres.
Avec quelle vergogne ai-je pu oser préciser le cadre contractuel d'une garantie RC habitation à comparer d'une RC personnelle...
Comme si au surplus, l'assureur habitation était susceptible d'indemniser son assuré un locataire, de ce qui serait une dégradation du logement !!!
Malédiction!
D'une phrase terrible vous anéantissez d'un coup tout le pan conventionnel des assureurs qui ont l'outrecuidance de se dispenser de votre autorisation...
Et que le trou de la baignoire constitue un « évènement » !!! Pourquoi pas climatique !!!
Sire! Sire ! Messire!
Quelle honte pour moi de ne pas avoir su comprendre plus tôt qu'il m'était vain de disposer du vocabulaire minimum des assureurs pour oser défier votre pensée fulgurante dans le domaine des contrats d'assurance.
Une personne normalement constituée, je veux dire celle qui n'a pas le cerveau dégradé, comme vous, dont vous aurez à supporter les énormes frais de sa réparation, aurait dû s'arrêter là,
J'avoue!
J'ai pêché par orgueil et paresse en imaginant un instant que ces lourdes dépenses allaient être prises en charge par les assurances sociales...
C'était sans compter sur votre sagacité et vos connaissances insondables des sciences médicales où vous disposez patiemment.
mais non …vous me reprenez sur mon interprétation d''un jugement en cassation que vous avez relevé, lequel évoque, tout le monde peut le lire, qu'il s'agit de la non existence d'un EDL et l'existence des taches relevées sur le crépi, lesquelles ne sont que des désordres dont n'importe quel imbécile sait qu'ils sont à la charge du locataire !!!
Je me repens devant le savoir que vous partagez avec un si grand nombre..
Ce, alors qu'en l'espèce, notre internaute nous précise, je cite :
« Après avoir ouvert la baignoire plus grandement pour voir si il y avait une cause en dessous, nous avons vu qu'elle était composée d'une fine couche de plastique, d'une couche d'aggloméré humide et d'une autre couche de plastique, est-ce que cela peut constituer une preuve de non conformité car la couche agglo étant humide
De plus elle était sur pieds en plastique et ça a cassé là où il n'y en avait pas » ; qui sont donc pour vous et l'autre, les preuves que cette baignoire était récente et de bonne qualité !
Ha! tel Cyrano, à la fin de l'envoi, vous touchez.
Le fond.
Fin de la digression.
J'ai autre chose à faire de mon temps qu'à le perdre à contredire un fumiste.