Difficile de trouver les mots pour décrire l'attitude du Service Successions de la Banque Populaire du Grand Ouest (BPGO)... Quand, en un mois et demi, les avoirs de la succession de notre mère ont été liquidés par une banque concurrente, la BPGO, elle, s'en montre incapable au bout de trois mois.
Résumé des faits : après avoir attesté que nous sommes seuls héritiers (toutes attestations officielles à l'appui), rien ne se passe. Nous faisons entrer un notaire dans la boucle. Rien de plus. Les réponses du Service Successions de la BPGO, totalement dénuées d'empathie, sont systématiquement dilatoires : on attend le remboursement d'un autre service... c'est le notaire qui n'a pas fait le nécessaire... Et au bout de ces prétextes... toujours rien !
Il faut dire que plusieurs anomalies sur le compte de notre mère ont été identifiées par nos soins après la date du décès : facture des pompes funèbres présentée et acquittée deux fois (une erreur qui n'a été corrigée par la BPGO que du fait de notre intervention), contrat d'assurance habitation résilié de plein droit et pourtant prélevé pour 2020, autre prélèvement n'ayant pas été rejeté malgré le décès...
Une piste, alors : les avoirs qui nous échappent ne seraient-ils tout simplement pas… "présentables" ?
Quoi qu'il en soit, non, décidément, si l'on a des héritiers, force est de constater qu'il ne fait pas bon mourir client de la BPGO.