nous tenions à vous exposer notre situation concernant notre emprunt habitat et plus précisément l’assurance collective pour couvrir nos emprunts.
En 2007 nous avons souscrit auprès de notre banque le Crédit Agricole un emprunt pour l’achat de notre habitation. En mai 2007 nous sommes donc devenus acquéreur de ce bien.
Pour ce faire nous avions souscrit une assurance décès obligatoire pour couvrir notre emprunt, via notre banque, à hauteur de 100% pour chacun, soit un montant mensuel global de 65.39 euro.
Mais nous fumes surpris de nous rendre compte qu’en réalité nous étions prélevés pour cet objet d’un montant total mensuel de 130,80 euro soit le double exact de la somme initiale.
Le délai pour ce rendre compte de cela parait long mais cela s’explique par le fait que nous avions en réalité entamé notre remboursement de crédit qu’en juin 2008 car nous avions souscrit en plus du crédit habitat, un crédit pour travaux que nous avons fini de consommé en mai 2008 ce qui permis d’entamer le remboursement total.
Chose vaine car en fait cette somme correspond à la dite assurance décès. de 65.39 majorée.
Certes nous avions reçu à l’époque un courrier en recommandé du centre gestionnaire stipulant « que nous étions acceptés au conditions tarifaires majorée (groupe2) pour toutes les garanties initialement prévues dans notre contrat d’assurance,… résultant de : affections respiratoires »
Toutefois, il ne figure sur aucun documents transmis ni le mode ni le barème de calcul nous faisant passer du simple au double au mois. Il nous ai fait mention du passage au groupe 2 mais nul part ne figure les conditions correspondantes
De plus, compte tenue des éléments retenus par la dite commission à savoir nos problèmes respiratoires sur la base de nos questionnaires de santé transmis à la CNP Assurances il nous semble aberrant de payer une assurance au double. ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
Par conséquent, sachant bien évidemment que nous sommes bien conscient que nous avons contracter de notre plein gré la dite assurance nous voulions savoir si celles-ci pourrait comporter un vice de forme ou si il est possible de résilier ce type d’assurance (que nous savons très spécifique) au profit d’une autre, extérieure.