Vie privée et services publics : abus des féministes de la police et de la psychiatrie

[SCHIZO GUÉRI]

VIE PRIVÉE ET SERVICES PUBLICS : ABUS DES FÉMINISTES DE LA POLICE ET DE LA PSYCHIATRIE : LES CAUSES DE MON HOSPITALISATION ABUSIVE ET ILLÉGALLE CINQ SEMAINES EN SERVICE DIT LIBRE ? LA POLICE ET LA PSYCHIATRIE N’ONT EFFECTUÉ AUCUNE RECHERCHE DE LA VÉRITÉ POUR VÉRIFIER LES FAITS MAIS ONT CRU AUX CLICHÉS ÉCULÉS HAINEUX ACTUELS DES FÉMINISTES VIS-À-VIS DES HOMMES !

Au commissariat de police le 01/12/2023 j’ai déclaré ceci au moins :

• si je rentre chez moi ma femme me tue immédiatement !

• ma femme a tenté de me tuer avec une paire de ciseaux et elle était alors très déterminée

• elle menace souvent pour des raisons financières de tuer nos deux chiens avec son révolver

• elle déclare plusieurs fois par jour : « J’en ai marre, je vais te tuer, je vais me suicider ! »

• elle me menace (parfois) ou me donne (parfois) des coups pour lesquels je lui réponds alors : « Arrête ! Arrête ! sinon je crie ou j’appelle la police ! »

• mon mariage n’est pas consommé dans la fidélité réciproque alors qu’il perdure depuis 50 ans

• depuis que je suis marié je n’ai jamais eu aucun droit de regard sur mon compte en banque

• etc.

En déclarant cela je comptais obtenir une expertise psychiatrique pour l’aider et non pas pour divorcer.

J’ai été amené à l’hôpital […] par la police pour "Propos incohérents et délire de persécution" selon le compte-rendu de celui-ci. À celui-ci j’y ai déclaré la même chose qu’au commissariat ce à quoi le médecin m’a alors répondu : « Après cinquante d’amour votre femme ne peut pas être dangereuse pour vous ! Je vous envoie en psychiatrie à l’hôpital […] » Après ma sortie de celui-ci le 11/01/2024 ma femme m’a dit que la police avait pensé à des coups de moi contre elle et lui avait demandé de porter plainte contre moi à ce sujet ce qu'elle a alors refusé.

Au second hôpital aucune recherche de la vérité n’a jamais été faite non plus sur les faits que j’ai déclarés au cours de ma déposition verbale au commissariat et au premier hôpital. Seuls n’ont été recherchés que mes antécédents psychiatriques dans un but que j’ai tout de suite compris en réalité anticriminel ou antiterroriste de sécurité publique.

J’ai demandé au début de mon hospitalisation de cinq semaines si j’avais le droit de refuser les médicaments psychotropes jusqu’à voir un expert psychiatre judiciaire mais tout cela m’a été refusé. Ceux-ci n’ont cessé alors que de me détraquer et lorsque je demandais alors dans quel but on me faisait ingurgiter ceux-ci jamais je n’ai eu de réponse. Actuellement je ne prends plus ceux-ci pour deux raisons : un diabète (glycémie : 1,42) est réapparu à cause de ceux-ci et de plus personne ne peut prendre jamais ceux-ci à vie sans alors se suicider tellement ils sont en réalité inhumains (même à leur dose minimum).

Une ex-psy un jour que je lui avais évoqué mon mariage non consommé m’avait alors répondu ceci : « Vous avez la chance d’avoir une femme très intelligente ! » Ce à quoi à cela je me permets de lui répondre à ce jour ceci : « J’ai surtout la chance d’avoir une femme qui n’est pas féministe ! » Celle-ci a actuellement beaucoup changé comme par miracle et au lieu de me dire comme auparavant plusieurs fois par jour : « J’en ai marre ! je vais te tuer ! je vais me suicider ! » me dit désormais : « Je suis vraiment très fatiguée ! je vais crever ! »

Le diagnostic de schizophrénie paranoïde fait dans les deux hôpitaux et même dans le compte-rendu d’hospitalisation aussi du second démontre que j’ai eu affaire à des charlatans psy féministes (deux jeunes femmes) et en rien à la vérité ou à la réalité.

Le 26 mars 2024,

Schizo GUÉRI