Bonjour,
Voici mon souci :
le 27/02/2015, j'ai passé commande pour un vélo CASTELLO HLX de maque KS-Cycling.
ce dernier est arrivé avec la roue avant tordue, non monté et sans éclairage.
donc ne respecte pas la loi Française :
(décret 95-937 du 24 aout 1995) OBLIGATIONS DU VENDEUR LORSQUE VOUS ACHETEZ VOTRE VÉLO Que vous achetiez votre vélo chez un Spécialiste, dans une Grande Surface de Sport, dans une Grande Surface Alimentaire ou bien encore par Internet ou par correspondance, votre vélo doit vous livré entièrement monté et entièrement réglé
après une première réclamation, ils m'ont envoyé une roue avant de rechange.
seulement, au bout d'à peine 6 mois d'utilisation (routière), le vélo est inutilisable :
-Jeu de 5mm de chaque coté de la roue arrière
-les dérailleurs n'ont jamais fonctionné correctement et c'est de pire en pire.
-la protection en plastique du plateau a été arraché lors d'un des nombreux déraillements
-l'amortisseur arrière à perdu son joint racleur, et est devenu tout mou.
-le pédalier grince et prend du jeu
j'ai demandé au SAV de reprendre ce vélo calamiteux et de me rembourser, ils ont refusé.
j'ai demandé au SAV d'honorer la garantie (qui est affiché à 2 ans sur le site) et ils ont refusé.
leurs proposition :
-m'envoyer une roue, un amortisseur et 25 euro (sachant que la main d'oeuvre chez un pro devrait dépasser la valeur du vélo)
-reprendre le vélo avec une décote (non précisée)
C'est scandaleux!
Rue du commerce devrait à défaut de me rembourser, au moins prendre en charge les réparations du vélo, ce n'est pas normal qu'une enseigne de cette taille agisse comme un petit vendeur à la sauvette!
je précise aussi que ce vélo m'a coûté 257 euro, soit 77 euro de plus qu'un modèle équivalent de chez décathlon (304s) que j'ai acheté à ma copine à la même époque et ce dernier lui est bien aux normes et ne pose aucun problème, je m'en sert régulièrement sur les mêmes routes.
Suite à un entretient avec UFC Bordeaux (que je remercie pour son aide)
J'envois une mise en demeure à rue du commerce et je contacte la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Population)
pour signaler le fait que leurs vélos ne respectent pas le décret 95-937 du 24 août 1995 et sont véritablement dangereux.