Aujourd'hui audience en opposition au jugement délibéré contre Priceminister.
Mathiot est venu pour prétendre qu'il avait gagné le contredit l'année dernière alors que c'est moi qui l'ai formulé et fait constaté que je ne suis pas commerçant professionnel, que les ventes effectuées ne requièrent pas ce statut , loin de là car c'est 8 fois moins que le total qui demanderait d'être inscrit au registre du Commerce.
La greffière mentait carrément en affirmant que l'audience précédente c'était tenue alors que Mathiot (ou son avocat) était absent. Le jugement par défaut à été annoncé et la juge prétend que j'avais eu la parole.
En fait elle à clairement annoncé la fin de l'audience après que la personne précédente ai été déboutée car elle ne s'est pas adressée au Tribunal du bon arrondissement. j'ai pris la parole pour protester de l'absence de représentation, moi venant de l'extérieur de Paris.
En plus de mentir, la greffière dit que celui qui peut former opposition est le défaillant du jugement par défaut, or Priceminister m'as envoyé en retard un email annonçant leur absence à l'audience pour raison "très importante", mais l'audience était déjà passée car elle s'est tenue le matin, l'email étant arrivé vers 17 heures du jour d'audience.
Quand la juge a commencée à comprendre la méprise j'ai pu enfin prendre la parole et affirmer haut et fort que j'ai bien gagné le contredit et demandait de revenir en justice proximité. Mais alors mathiot à prétendu qu'il avait gagné ce contredit, la juge n'avait plus en tête ce contredit et a demandé à la greffière "mais c'est quoi cette histoire de contredit", celle-ci a bafouillé et comprit que la manipulation allait échoué et elle a finalement expliqué que je revenais devant la justice de proximité.
Mathiot a dit 'je me suis trompé d'affaire, c'est une erreur", pourtant il sait bien que les documents que j'ai fourni sont probants, j'ai du faire réparer ce téléphone, et quand j'en ai reparlé la juge a demandé "mais quel téléphone", elle a ensuite confirmé qu'elle n'avait pas ouvert le dossier.
J'ai donc infligé le verdict populaire "vous êtes comme Priceminister vous n'ouvrez pas les dossiers". Car c'est la base du problème pour la demande de réclamation avec priceminister, ils ont refusé trois fois la réclamation argumentant que "d'après nous le téléphone fonctionne car vous avez validé la réception en disant "tout OK".
Le problème de son filaire n'est apparu que lorsque j'ai branché un kit main libre, le son amplifié fonctionnait sans trop de parasites.
J'ai du faire changer la carte mère à la deuxième intervention alors qu'à la première c'était des boutons et autres petits modules. Entre temps j'avais bien sur acheté un autre mobile, qui est tombé en panne à son tour, deux jours environs après de retour de réparation du N°1.
La juge a alors dit "vous n'avez qu'à vous adresser au Ministre si le jugement ne convient pas" et mathiot s'est dénoncé comme ayant cherché un soutien auprès du Ministre pour avoir gain de cause. Car effectivement la juge tenait en réserve ce fait, croyant que c'était moi qui avait contacté un ministre à ce sujet.
Mathiot à reçu Macron pendant la campagne présidentielle... Ceci explique la prétention du Gars Mathiot qui dans un premier temps disait "j'ai seulement le bac je ne connais pas le Droit Commercial", alors que des années avant Geneviève Chevrillon lui demandait "Vous êtes passé par HEC" ce à quoi il répondait 'oui en effet' (voir vidéo sur Youtube ou BFMTV business)
Mathiot avait avoué avant la campagne présidentielle avoir "de l'argent placé en Suisse, 100.000 euro qu'il devait faire revenir par la procédure française".
Je crois que la juge s'est aperçue que "l'évasion fiscale de mathot est vraie", ce n'est pas une tentative de ma part de diffamer, mais un avoeu réel et lors de la première intervention de mathiot en 2014.
Mathiot à tenté de faire ajouter son Kbis au dossier sans me le fournir, et d'autres documents alors que la juge lui disait 'vous devez lui fournir les documents" il répondit "non ça je ne veux pas lui fournir".
J'avais déjà fourni le Kbis de priceminister car mathiot contestait le fait d'être une société de vente sur internet, prétextant que ce serait un site d'annonce et que ce service est la fonction principale de la société.
D'un part mon dossier est complet, avec preuves de réparations du téléphone, des emails échangés qui montrent qu'ils refusent toute réclamation sans examiner la téléphone en question, puis je démontre qu'ils ont présenté les tableaux de vente en 'excluant' les colonnes où l'on voit les validations de réception des clients, alors que mathiot à redit 'mais les réclamations sont nombreuses et les vente mal conclues" idem dans les conclusions écrites.
Leurs conclusions écrites reprennent les mêmes arguments qui les ont vu perdre devant la cour d'appel, ce qui est une critique de la décision de justice.
Elles sont plus fines qu'avant le contredit car ont disparues les accusations fausses et sans preuves, la juge ne me permet pas de reprendre ces accusations mensongères et réaffirmer que le pseudo "système de vente dont m'accusait mathiot" devant le tribunal n'était qu'une procédure dilatoire visant à me faire renoncer au procès.
La greffière et mathiot on cherché à masquer les faits à la juge qui s'est ensuite rendue compte que le dossier devrait être jugé, et non pas débouté.
Il y aura donc un autre 'jugement' a t'elle dit quand je m'éloignais, et non pas un refus sec de mon opposition puisque mathiot montre:
- une tentative d'influence sur le jugement par un ministre (la juge ochait la tête car elle savait)
- mensonge sur le résultat du contredit (je ne suis pas commerçant, Trib Commerce pas compétent dans ce cas)
- il cache des documents à l'adversaire, la greffière disant à mathiot 'c'est bon monsieur on n'a plus besoin de vos documents, on ne va pas y passer de heures, on refuse l'opposition c'est tout. Mais la greffière a vu que mathiot cachait le terme "société commerciale" avec son passeport quand il tendait les documents Kbis.
Il y avait semble t'il une carte consulaire, mais cela non plus on ne me l'as pas montré.
Comme annoncé de toute façon, j'ai été floué dans cet achat réalisé à titre personnel et accusé à tort d'être coupable de mauvaises ventes, d'avoir accomplis des ventes à titre professionnel, ce que le contredit que j'ai gagné, conteste irrévocablement.
L'absence de représentation a été expliqué pour l'audience précédente 'j'avais saisi mon avocat", et le juge de répondre "il dit que non" et personne ne vous représentait.
On dirait que mathiot cherche à jouer des méandres de la procédure plutôt que de dire en face de la justice (comme l'avocat l'à fait):
"Nous sommes un société commerciale, nous vendons les objets et reversons 75% du fruit de la vente depuis notre compte bancaire Soc... Géné..."
L'avocat avait défendu en disant 'nous sommes mandataire" mais un mandataire est bien responsable de l'état et de la légalité des objets fourni à l'acheteur.
Le dit avocat d'ailleurs était pourvu d'un pantalon de pâtissier et d'une chemise du même métier, il a expliqué à la juge qu'il travaillait au noir dans une boulangerie pour payer des "frais d 'inscription" ... une histoire d'avocat qui a fait rire la Cour d'Appel de Paris à en faire vibrer les vitraux.
Dans ce cas commercial je suis l'acheteur, et priceminister a cherché à se servir de mes ventes pour créer un doute et tenter de me faire condamner en tant que vendeur professionnel non déclaré. Ce qui est invalidé par la cour d'appel.
Le mandant est celui qui donne pouvoir à priceminister de proposer les objets à la vente sur le site.
Le mandataire est priceminister qui réalise la vente par le transfert du paiement, et versement au mandataire. Mais, priceminister dans les CGU redéfinit ce qu'est un "vendeur" en disant le membre de priceminister est "vendeur" ou/et "acheteur". C'est un tour de magicien pour remettre les responsabilités légales sur la personne qui propose des objets, alors que les CGU stipulent que priceminister agit en tant que mandataire.
Les CGU contredisent la Loi et mathiot à précisé "nous sommes contre la Loi du vice caché, une vente est parfaite quand le client dit qu'il a reçu l'objet et valide la réception sur le site priceminister".
C'est également faux car la Loi sur le commerce, électronique ou pas, permet au client de dire que le fonctionnement n'est pas celui prévu par le fabricant.
Il ne s'agit pas de dire que le fonctionnement n'est pas assez bon, mais de dire que le fonctionnement n'est pas conforme aux données du contructeur.
Il ne s'agit pas non plus d'un changement d'avis, et demande de rétractation car c'est un vice caché qui a demandé le changement de pièces détachées et la réparation (deux fois dans mon cas).
Il s'agit du DOL, qui permet à un consommateur de faire constater que le fonctionnement ne produit pas les résultats "normaux" de l'appareil. Dans mon cas le son grésillait dès que l'oreillette main libre était branchée.
Mathiot prétendait aussi dans ses conclusions que ce n'est pas l'appareil en lui-même qui est un problème de vice caché, mais que c'est l'utilisation "normale" qui prévaut sur la normalité du téléphone qui sort d'usine.
Autrement dit si vous achetez un friteuse pour faire des accras, alors priceminiter considère que des accras cuits, suffisent, même si trois kilo de frites demanderaient plus d'énergie et que votre appareil ne les cuits pas bien.
Utilisation/spécification.
C'est vraiment un concept pour berner tout les acheteurs car si vous vous servez d'une voiture pour y dormir, priceminister pourrait répondre "si vous dormez bien alors pas besoin qu'elle roule, puisque c'est pour dormir".
Priceminister disait dans des conclusions qu'un téléphone est plutôt utilisé en général pour téléphoner que pour écouter de la musique avec les oreillettes main libre, ce à quoi j'ai répondu "mais je n'ai pas de musique sur mon téléphone, c'est justement pour téléphoner en main libre".
Qu'importe que ce soit pour la musique ou téléphoner, le son doit être bon, normal, surtout sur un modèle affichant "true bass system" donc basses améliorées.
Qui qu'il en soit j'ai été accusé à tort:
- de n'avoir pas fait parvenir des objets > faux seul un objet perdu par la Poste, un mauvais fonctionnement.
- de n'avoir pas fait d'enregistrement en tant que professionnel sur priceminister > faux car pas nécessaire devant le volume de ventes.
- de demander le remboursement d'un téléphone qui fonctionne: faux car il a fallut le faire réparer deux fois, il a finalement cessé de s'allumer il y a un mois après environ trois ans.
- Et aussi > mathiot m'avait accusé dans un premier temps de l'avoir agressé à son bureau rue Réaumur, alors que ce même matin avait lieu l'audience et que j'étais arrivé au café le plus proche attendant l'ouverture. Je ne pouvais pas me trouver à un endroit et un autre au même moment, et la juge avait dit à mathiot "ce ne serait pas plutôt un accident de ski mr mathiot?"
Il n'avait évidemment aucun certificat médical ni possibilité de montrer une vidéo ou quoi que ce soit de probant sauf son bronzage d'évadé fiscal. J'étais à mon 3ème expresso quand la Mairie a finalement ouvert ses portes.
