Messagepar Mircou » 04 mars 2020, 14:29
S'agissant de frigo-américains" Samsung, je "rebondis" sur le thème de la fiabilité des tests abordée ici.
Me battant contre Samsung depuis quelques mois, appuyé par mon assistance juridique Allianz et celle de Que Choisir Aix en Provence, sans, à vrai dire, l'espoir d'aboutir à quoi que ce soit eu égard à la crainte générale de devoir affronter juridiquement un mastodonte mondial comme Samsung, je crois loyal d'aborder de manière réaliste la question des tests de fiabilité.
En effet, les tests de Que Choisir (comme ceux récents du grand magazine Allemand Stern donnent des places de choix aux Frigos "américains" Samsung.
La question fondamentale, pour un acheteur potentiel n'est pas seulement celle de savoir si un appareil de ce type remplit bien les fonctions attendues après son achat, ceci dans les meilleures conditions, mais aussi, celle de savoir pendant quelle durée il le fera, APRES LA DUREE LEGALE DE GARANTIE - malheureusement, actuellement, limitée à 2 ans.
En corolaire se pose la question de savoir (1) quelle est la durée moyenne de fonctionnement sans problème d'un appareil, et aussi (2), quelle est l'attitude de la marque lorsque des défauts plus ou moins graves apparaissent ensuite.
Ces points, essentiels pour le consommateur, paraissent ne pas être bien pris en compte dans lesdites études : en effets, j'ai trouvé une étude récente sur le magazine Que Choisir plaçant la marque Samsung, et de très loin, en dernière position pour la durée de vie des appareils en question (7 ans et quelque contre 10 à 11 pour les autres grandes marques)
Et les forums témoignent à foison de l'attitude commerciale indigente (euphémisme...) dans le traitement des incidents rares, mais très graves, arrivant à ses clients.
Il est donc "surprenant" (nouvel euphémisme) que ces deux données fondamentales ne soient pas du tout prises en compte, semble-t-il, dans lesdites études - ce qui entraine des déconvenues légitimes à ses lecteurs-membres malchanceux.
Il faut espérer que les études engagées actuellement par l'Adème et par la Commission Européennes permettront de forcer les firmes à mettre fin à leurs pratiques légale, mais fondamentalement malhonnêtes.