• 29/11/2017, accord écrit de la part de mon conseiller sur un découvert autorisé pour obtenir une avance de trésorerie temporaire,
• 1/12/2017, appel téléphonique d’une conseillère qui n’est pas ma conseillère habituelle et me demande de justifier le découvert sur mon compte suite au débit de traites du même jour,
• Alors que le découvert a déjà été validé elle me somme, en pleine journée de travail de lui apporter dans l’heure les éléments justifiant ce découvert,
• Je lui annonce ne pouvoir me déplacer sur la journée mais lui propose de la rencontrer dès le lendemain samedi 2 décembre, bien que ces éléments aient déjà été communiqués à ma conseillère pour obtenir un accord de découvert le 29/11/17,
• 3/12/2017, je constate que la traite de règlement de mes fournisseurs du 30/11/2017 dans un 1er temps débitée, a été rejetée le 1/12/17 par le directeur départemental client pro, lui-même, sans que je n’en n’ai été informé et dans le plus total irrespect des engagements pris par un de ses conseillers 48h auparavant,
• Face à l’action inconsciente du crédit agricole décidée sans aucune concertation, mes comptes fournisseur sont instantanément bloqués, mettant ainsi l’existence de ma société en péril, ne pouvant plus effectuer d’achats,
• Nombreuses demandes (près d’une dizaine) de ma part oralement, par mail et par courrier restées toutes sans réponses à ce jour, près de deux mois plus tard, pour obtenir explications et réparations,
• La seul réponse qui m’est adressée m’annonce dans un courrier d’une page que « la caisse régionale du crédit agricole des Côtes d’Armor n’a plus convenance à me compter parmi ses clients dans un délai de 60 jours » sans me fournir aucune explication ni sur cette décision, ni sur mes demandes liées à l’origine du conflit,
• Décision d’autant plus surprenante que dans un courrier reçu à quelques jours d’intervalle, on me remercie « de ma confiance en ayant confié sur ces douze derniers mois 243 000€ » au C-A
• Conformément à la convention de compte, sollicitation par courrier LRAR le 02/01/2018 du service contentieux - A.R signé le 04/01/2018. Courrier resté tous comme les autres sans réponse à ce jour,
• Le Crédit Agricole aurait-il donc une stratégie tout à fait opposée à ce qu’il annonce en refusant le droit à chacun de se défendre, allant à priori jusqu’à choisir la voie de l’ignorance et de la sanction et privilégiant la règle du « pot de fer contre le pot de terre en se faisant juge et partie décidant du bien -fondé ou non de la réclamation du client ?