(Prêt n° 3235282)
Bonjour,
J’ai souscrit en octobre 2013, auprès du Crédit Foncier, un crédit immobilier (Prêt n° 3235282) soumis aux articles L.312-1 et suivants du Code de la Consommation.
Conformément à ce que prévoit l'article L.312-21 du Code de la Consommation, j'ai informé le Crédit Foncier le 15/06/2016 par LRAR de ma volonté de rembourser la totalité du capital restant dû, de manière anticipée suite à la cessation forcée de mon activité professionnelle (suite à mon licenciement).
Conformément aux conditions générales – Article 10 – Remboursement anticipés volontaires de mon offre de prêt j'ai fait savoir au Crédit Foncier au moins quinze jours à l’avance de mon intention de procéder au remboursement anticipé volontaire total du Prêt n° 3235282 à la date de la prochaine échéance soit le 10/07/2016.
Le 25/06/2016, en complément de la lettre de licenciement transmise par courrier recommandé le 15/06/2016, j'ai transmis au Crédit Foncier le certificat de travail remis par mon employeur.
Ce licenciement constituant une cessation forcée de l’activité professionnelle, comme indiqué dans les conditions générales – Article 10.2 Indemnité de remboursement anticipé, en application de l’article L. 312-21 du Code de la Consommation, l’indemnité de remboursement anticipé n’est pas dû.
Malgré cela le Crédit Foncier nous harcèle malgré nos appels téléphoniques : 3 courriers de relance pour le paiement de l'indemnité de remboursement anticipé (le dernier reçu aujourd'hui ), les pénalités de retard, les intérêts sur le capital remboursé... sans compter les assurances du prêt qui sont toujours à payer et la caution du Credit Logement qui n'est pas prête d'être remboursée... alors que le Crédit Foncier est informé et possède les justificatifs depuis 2 mois !