Messagepar Greenkraft Expertise » 02 nov. 2014, 08:00
Votre lecture est donc ici aussi "lineaire" ?
"Si et seulement si " n'a jamais voulu dire qu'il s'agissait d'une condition nécessaire ET suffisante.
Sinon, bien sur, toutes les victimes verraient leurs reclamations satisfaites immédiatement.
Vous qualifiez d'erreur majeure une analyse tronquée de mes propos.
Dénigrement ?
Il est bien évident qu'il faut qu'il y ait des fautes de la part du prêteur, comme par exemple, un defaut caractérisé de vigileance, que l'on retrouve systématiquement dans TOUS les dossiers: l'absence de verification de la situation administrative de l'installation.
En effet, aucun organisme de pret ne se préoccupe de savoir si l'autrorisation de travaux de la Mairie a été accordée, et dans la plupart des cas les fond sont débloqués avant même que cette autorisation soit accordée.
Il est paradoxal de constater qu'aucun organisme de pret n'accordera de financement sur un vehicule d'occasion sans disposer du certificat de situation administrative ( non-gage), mais qu'en matière de travaux photovoltique ou eolien domestique le laxisme généralisé soit de mise.
Par ailleurs, je n'ai jamais prétendu à dire la Loi: je ne suis pas avocat, et je n'ai jamais conseillé à quiconque de de se dispenser des services d'un Conseil habilité.
Contrairement au comportement de certaines associations qui vouent les expertises aux gémonies pour on ne sait quelle obscure raison.
Le travail de l'expert ( et les missions qui lui sont confiées par les Tribunaux) consiste à identifier ce qui dans un chantier et les transactions associées peut éclairer le Juge sur les decisions à prendre, aussi bien sur le plan technqiue que sur le plan administratif.
De ce fait, l'expert doit connaitre les textes sur lesquels reposent le déroulement du chantier , mis bien évidemment c'est à l'avocat de former des conclusions pertinentes à partir d'une éventuelle expertise et de ses propres analyses de la Loi, et enfin au Juge de trancher.