Messagepar babs11 » 03 avr. 2023, 20:38
Bonjour,
Je constate que malheureusement nous ne sommes pas les seuls à être victimes de ces pratiques plus que douteuses de la part de sixt. L'entreprise nous demande 1000 euros pour des dégâts que nous n'avons pas commis et n'ayant effectué aucun état des lieux au départ (voiture proposée à la location changée au dernier moment, "surclassement"). Aucune preuve donc que cela soit de notre fait. L 'employé du retour a demandé "c'était déjà là? car je ne vois pas bien sur la photo" (Ils prennent pour comparaison une soi-disant photo (visiblement pas très nette, au vu des doutes de l'employé) pour constater des dégâts que nous n'avons pas commis (aucun choc pendant le voyage, puis situation qui ne permettent objectivement pas ce genre de dégâts). Photo que nous ne voyons pas, et dont nous n'avons aucune idée de la date à laquelle elle a été prise. Si mon conjoint avait été de mauvaise foi et avait répondu, sans véritablement savoir, "oui, à la question "c'était déjà là", où en serions-nous aujourd'hui?
Nous contestons donc cela par écrit, le directeur de l'agence nous rappelle et s'excuse platement, en nous confirmant qu'il n'y a pas eu d'état des lieux et que, du coup, il allait écrire au service sinistre. Malgré cela, le service nous réclame toujours la même somme a payer avant une semaine. Selon eux, le contrat de location implique que le conducteur fasse un état des lieux mais :
-le contrat a été envoyé par mail à la remise des clés, et pas du tout au préalable
-la voiture de location a été changée au dernier moment, le modèle que nous avions choisi n'était, selon leur dire, plus disponible. Le prix de l'assurance du fait de ce "surclassement" n'était donc plus le même et devenait très couteux pour trois jours de location, ce qui évidemment, nous a dissuadés.
-ne doit-il pas y avoir consensus sur un potentiel état des lieux? et donc impliquer et le locataire et le loueur? (donc l'employé?)
En outre, je précise que le constat des dégâts et donc l'estimation du coût des réparations a été fait via photo, avec le peu de précisions que cela implique...
Bref, un cauchemar, mais nous ne laisserons pas cela sans suite. C'est un scandale d'arnaquer de cette façon les consommateurs, d'autant plus que le directeur a reconnu de vive voix (et par écrit -mail en copie) leur erreur.