Dans le besoin de me loger et étant sans revenus ni garant, j'ai contacté une dernière agence immobilière - Postillon Immobilier - en juin 2014, au sujet d'une annonce qui s'est avérée mensongère de plusieurs façons, pour un minuscule studio meublé (10m², mais 18 sur l'annonce). La visite a été effectuée avec les deux employées de l'époque de Harper Riviera Properties, sans que je sois informée au préalable de ce changement par Mickael M. de Postillon que j'avais pourtant eu la veille au téléphone. Je devais être rappelée dans les heures suivantes simplement pour savoir si le studio en question était sous GLI. Mais on m'a fait venir, et, sans me donner l'information demandée, on m'a amenée à me décider pour ce logement le jour même, le 18 juin 2014. J'ai signé un bail d’un an prenant effet le 1er juillet. Le 27 juin et le 2 juillet j’ai dù verser, en liquide sur l’insistance du dénommé Eric Diarra, "responsable" de l'agence disons, et ce malgré les chèques que je lui avais remis à sa demande dans un premier temps le jour même de la signature, l’équivalent d’un an de loyer, plus frais d’agence plus dépôt de garantie, soit un montant total de 5 980 euros, mes économies. Je lui avais pourtant indiqué que ces chèques pouvaient être encaissés deux jours après les avoir émis. Il était toujours d'accord. Il a ensuite attendu une semaine pour me convoquer et me dire qu'il exigeait un virement ou du liquide, car "les chèques, c'était pour être arrangeant" ! Incrédule devant cette fantaisie, je lui dit que je ne pouvais pas faire de virement et lui ai rappelé la loi, qui interdisait à l'époque les paiements en liquide de plus de 3 000 euros. Il a osé la réécrire : ""Jeune fille" ici en France on peut payer 9 990 euros en liquide"... tout en gribouillant "9 0990", ce qui indique une grosse confusion mentale...
En échange je n’ai reçu que les clés dudit studio, pas celles de la boite aux lettres ni de la cave, ni de quittances mensuelles par la suite. J’ai été obligée de m’assurer, chez Axa précisément, alors que c’est facultatif dans le cadre d’une location meublée. Le bail a été généré immédiatement par un outil gratuit de gestion locative, Logeva.
Rapidement j’ai découvert que le propriétaire n’avait pas été mis au courant de la location de son bien, que l’agence ne lui reversait pas le loyer, et que l’agence Postillon qui a posté l’annonce mensongère et signé avec le proprio le mandat de gestion avant de le transférer sur Harper, avait menti sur l’annonce dans le but de «faire venir les gens».
Devant ces malversations et le harcèlement du propriétaire inquiet avec lequel Eric Diarra m’a laissée aux prises bien que j’aie signé le bail avec son agence, et bien que je sois finalement la seule personne en règle, j’ai décidé de partir, et j’ai donc envoyé ma dénonciation qui a été reçue le 30 juillet. Eric Diarra me faisait encore croire qu’il me relogerait à la fin du préavis - qu'il m'a forcée à effectuer bien que j'aie invoquée la non-jouissance paisible des lieux - dans l’appartement d'un certain M. B. situé dans le quartier de Vernier, tout en refusant systématiquement de m’en donner le prix exact, information qu’il fut très facile d’apprendre fin août de la bouche même de ce dernier, et très supérieure aux estimations fantaisistes d’Eric Diarra ("ça ne peut pas être plus de 530 !" => en fait 675, quel expert ! - peu importe, il connaissait le prix réel mais il avait autre chose derrière la tête.) Appartement qui n’est de toute façon pas disponible à l’année, ce qui constitue une tromperie supplémentaire. D'ailleurs il n'était référencé que sur homelidays, donc comme location de vacances, et curieusement il a disparu du site en septembre.
Le 30 août, la femme du propriétaire et moi-même avons dù effectuer l’état des lieux de sortie en l’absence intentionnelle du bailleur, qui a donc une fois de plus failli à ses obligations. J’ai eu la confirmation du revirement de son comportement envers moi cette fois, le 2 septembre, lorsque je suis venue à l’improviste réclamer mon argent et qu’il a aboyé devant témoin qu’«il n’avait pas à être présent lors de cet état des lieux parce qu’il n’avait pas la gestion» ! alors qu’il n’a jamais signé de renoncement au mandat de gestion du studio, ni cassé mon bail pour le transférer sur les propriétaires, et encore moins ne m’a rendu mon argent afin que je les règle moi-même.
La mise en demeure que je lui ai adressé le 21 août n'a jamais été retirée depuis qu’il l’a refusée par deux fois des mains du facteur, et j'ai pu la récupérer fin septembre, tamponnée du "33 août"

Les propriétaires ont trouvé par eux-mêmes une nouvelle locataire.
J’ai découvert en août, que N. Postillon est lié au notaire véreux Me Patrick Postillon, bien connu de la justice depuis au moins 2010 (les chiens ne font pas des chats, en plus à Nice), et que le gérant de Harper déclaré au registre du commerce a 22 ans tout juste, demeure en région parisienne et propose sur facebook d’aider les gens qui n’ont pourtant pas les diplômes nécessaires, de se lancer dans une activité immobilière. Bien entendu j'ai eu confirmation que le malade auquel j'ai affaire est dans ce cas de figure.
Eric Diarra a aussi acheté un magasin de fleurs rue Lépante, où les choses ne se passent pas mieux d'après les échos que j'en ai. Il m’avait proposé d’y occuper un emploi de «management à temps partiel» (sic) dès la première rencontre, ce qui curieusement n’a plus été évoqué depuis que le propriétaire a dénoncé son comportement malhonnête


Je me retrouve ainsi à nouveau sans logement propre tandis qu’Eric Diarra détient toujours mon argent et a refusé de me le restituer en répétant «c’est pas mon problème» quel que soit le manquement pointé ! Ce type a un discours purement délirant dans lequel il se prend pour un businessman amerloque, s'imagine avoir le bras long et n'être inquiété par personne. Faut le voir se prendre pour ce qu'il n'est pas sur facebook, lui qui ne peut se "faire du fric" qu'en volant (il ne paye personne, ni employés (gros turnover, jamais les mêmes !!) ni proprios etc, il se sert du compte de sa "femme" pour encaisser du pognon etc etc). Plus grave encore, dès qu'il est à court d'argument ce qui arrive assez vite, il va sur le terrain du racisme et se met à dire des âneries du style "je ne descends pas de mon bananier" alors que ce n'est pas le sujet, démontrant par là et en plus de son comportement malhonnête sur toute la ligne que s'il y a un raciste dans la pièce, c'est bien lui.
Bref, sachant que plusieurs propriétaires se sont plaints de ces malversations mais sont lésés dans une bien moindre mesure que moi malheureusement, je tiens à dénoncer ce cinglé et son probable complice. Je voudrais savoir ce qui est le plus rapide et efficace pour obtenir réparation dans ce genre de cas.