Messagepar manu750976 » 21 janv. 2024, 02:31
Bonjour, une amie a loué pendant plusieurs années une maison dont le DPE était noté E ( limite basse D selon l'agence , acceptée en urgence car séparation et non prioritaire pour un logement social) . Dans cette maison, elle a eu des factures énormes de chauffage car il y faisait très froid . Au point de devoir calfeutrer portes et fenêtres . Les toilettes étaient situés dans un extérieur couvert non isolé mais attenant à la maison . Cette vétusté a aggravé la dépression de mon amie épuisée psychologiquement par un divorce difficile . Cette maison a été mise en vente après son départ ... Avant la vente le diagnostique a été refait et quelle ne fût pas sa surprise de constater qu il n'est pas E mais G , la personne qui s occupe de la vente ( la même qui s occupe de la location) a insisté pour que il soit noté F mais le responsable du diagnostique a dit en privé à mon amie qu il était embêté car il aurait dû noter G car la maison est une vraie passoire ... Nous en avons déduit que les documents ont été falsifiés pour que la maison soit louée par mon amie à un prix plus élevé ( près de 900 euros par mois) . Quels recours seraient possible pour obtenir une compensation pour les dépenses de chauffage occasionnées ? Une action en justice en vaut-elle la peine ? Nous avons pour preuve son état des lieux , et le DPE remis par l'agence de location à l'époque et le document remis lors des visites aux acheteurs , le DPE est différent alors que rien n'a été modifié dans la maison ... La maison est restée en l'état où elle était lors de son entrée ( aucun travaux faits entre temps , un ami qui connait cette maison l'a visitée et il n ya eu que quelques mois entre le départ et la mise en vente ) . Nous pensons que le propriétaire souhaite la vendre au plus vite car les travaux ont été chiffrés à plusieurs milliers d'euros par l'entreprise qui a visité la maison avant la vente ( 50 000 euros ...) et qu elle ne pourra bientôt plus être louée en l'état , le véritable DPE étant .... G .