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Credit DIAC, déchéance du terme

orlins
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Enregistré le : 11 juil. 2014, 10:06

Credit DIAC, déchéance du terme

Messagepar orlins » 11 juil. 2014, 10:13

Bonjour à tous,

En 2012, nous avons contracté un crédit auprès de la société DIAC, filiale de Renault, pour un achat d’un véhicule Renault SCENIC d’occasion au garage Renault Boulogne Billancourt.
Les prélèvements contractuels mensuels s’élèvent à 280,57 Euros
Pas d’incident de paiement jusqu’en 2013, date à laquelle nous nous sommes vus infligés d’une saisie sur Salaire de Trésors public, impôts sur le revenu.
Conséquences graves sur notre situation financière, les premiers incidents de prélèvement DIAC ont commencés.
Nous avons alors contacté la DIAC par téléphone afin de régulariser notre situation et trouver une solution.
Nous avions trois échéances en défaut.

L’idée que nous avions retenue était de modifier les dates de prélèvements au 5 de chaque mois plutôt qu’au 10.
La DIAC a refusé notre proposition.
Les incidents se sont enchainés jusqu’à la mise en contentieux de notre dossier.
La communication avec notre correspondant DIAC s’est interrompu et nous avons été relancés

- Par lettres simples de cabinets d’huissiers associés
- Par téléphone sur nos portables et fixes.

DIAC étant injoignable (changement de numéro de téléphone sans en avertir ses clients), pas de réponse à nos courriers, nous n’avons pas prêté d’attention sérieuse à ce cabinet. DIAC étant notre interlocuteur principal.

Le 27 juin 2014, nous avons reçu une lettre simple de la DIAC, nous sommant de restituer le véhicule au garage de RENAULT Boulogne. Le contrat qui nous liait étant rompu, déchéance du terme.

Dans la même journée, un intervenant de terrain, monsieur CxxxS, mandaté par la DIAC s’est présenté à notre domicile, sans carte professionnelle.

Nous l’avons reçu, et d’un commun accord, nous avons conclu de restituer le véhicule Vendredi 4 juillet au garage Boulogne Billancourt.
Aucun document n’a été produit à l’issue de cet entretien pour le moins tendu et directif (pas de conciliation, mais des ordres formels de restitution).

Le 4 Juillet, 15h30 nous avons déposé le véhicule après avoir de bonne foi, changé la roue de secours HS dans un centre spécialisé, pour la somme de 54 euros.

15h31, le garage Renault dit ne pas avoir été informé de cette restitution.

16h30, le directeur du Garage se présente à nous, et obtient un contact DIAC qui lui fax un bon de restitution AMIABLE que nous remplissons et retournons à la société. Bon pour accord.

Le 10 Juillet, nous recevons un document de passage d’un cabinet d’Huissiers associés dans notre boite à lettres, nous invitant à prendre possession d’un document d’injonction du tribunal pour remise immédiate du véhicule (le véhicule a été rendu le 27 juillet).

A ce jour, nous devons 9000 Euros et plus de véhicule, qui sera vendu aux enchères.

Devant cette pression insupportable, ce manque de communication, nous sommes atterrés par les moyens mis un œuvre par une société filiale de RENAULT, dont je suis salarié depuis 1989.

Un crédit engage le contractant à le respecter. Une société de crédit telle que la DIAC devrait avoir la capacité conciliante d’absorber quelques incidents de paiement comme ceux que nous avons vécu.

Hors, il n’en est rien, le bon droit de DIAC est bien exploité. Le bon droit du consommateur lui, est-il bien respecté ?

Nous tenons cependant à souligner le professionnalisme et la courtoisie des équipes du garage Renault Boulogne Billancourt.

Veuillez agréer Madame, Monsieur, toutes nos plus plates excuses de vous avoir dégrevé de la somme de 3 fois 282,57 euros.

Cordialement.

Orlins.

orlins
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Re: Credit DIAC, déchéance du terme

Messagepar orlins » 18 juil. 2014, 15:16

Bonjour,

En complément.

La société de crédit auto Dxxx à déposé une requête en injonction de payer pour la somme de 9870.61 E en principal et 52.80 au titre de requête.

L'ordonnance d'injonction de payer :

Attendu que la Requête parait partiellement fondée enjoignons monsieur Orlins à payer a la société Dxxx la somme de
7881.99 en principal et 1E au titre de la clause pénale.

Déchéance du droit au intérêts a défaut de justification de la consultation au FICP.

Je ne comprends pas la fin!

Pouvez vous m'expliquer ? Que dois-je faire ?
Florian.


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