pourkoi un tel prix pour le sms ?

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ole pour faire du profitrevenons aux sources du SMS, les opérateurs mobiles ont tous construit un réseau dans les années 90 sur la norme gsm pr le systeme voix. Dès lors, pour certains tests du réseau, on a instauré un systeme de texte pour les reparateurs. Il se trouve ke ce systeme a été par la suite commercialisé. Une fois donc le reseau amorti (ce ki commence a ce produire), un sms ne coute donc casiment rien à l'operateur ce ki explike la marge exorbitante des SMS. maintenant, orange avait commercialisé le systeme a des prix inferieurs, comme ceux-ci virent se developer ces messages a leur grande surprise, ils augmentérent les prix puisque l'usage en était faible, la répercution de s'en est pas resenti. Le developpement du phénome devint tel kon reclame de baisser le prix de SMS car, on ne peut plus continuer à en envoyer assez par raport à ses souhaits. Morale de l'histoire : on doit dire que les opérateurs ont totalement remplis leur role economik en fesant du profit et ceux-ci vu le developpement rapide n'ont pas eu le temps de se rendre compte de l'ampleur du phenoméne et de se livrer a une guerre des prix ki pour l'epoque etait superflue au vu des parts de marchés negligables par rapport à la voie. Il n'y a pas eu d'entente cela c'est fait naturellement economiquement. Maintenant, certains contestent ces prix, à quoi bon ? Pour payer moins, envoyer plus de SMS et après ? Pour etre encore plus drogués au SMS et envoyer des dizaines à la Star Ac pour voter pour un tel ou tel, quelle futilité ! ou, pour envoyer 3 mots du genre : "Je V o ciné" alors ke la personne à ki vous parlez habite à 100km,, quel superflu ! Alors, l'erreur, c'était d'avoir commencé à utiliser les SMS, si vous n'etes pas contents des tarifs, arretez pqp Orange avec 5% de SMS en france dans le total de ses ventes et avec 15% de croissance annuelle, c'est une goutte d'eau dans la mer.
Vous ne ferez pas changer un mastodonte de cette taille, si vous voulez vous liberer du poids du SMS : kune solution, arreter.