J'avais un contrat ASCENDO à la Banque postale que j'ai nanti pour une opération immobilière. Chaque rachat partiel a élé laborieux et le dernier a démontré toute l'inefficacité de la CNP qui donne le sentiment de confisquer impunément votre argent. Depuis le 11 février, mon contrat ASCENDO n'est à ce jour le 09 avril toujours pas racheté malgré des heures de contacts téléphoniques. Ci-joint la lettre de mon incroyable mésaventure que je ne souhaite à personne. Un conseil, fuyez la CNP, quant à la Banque Postale, même si les employés font de leurs mieux, la structure de la banque décourage ses plus fidèles clients. Ailleurs c'est tellement plus efficace !
Extrait de ma lettre
Je vous écris pour vous faire part de ma consternation face au fonctionnement de la CNP. Je suis un fervent défenseur du service public mais je constate qu’il y a chez vous des personnes qui donnent des arguments forts à ses détracteurs. Alors que certains de vos employés s’impliquent dans leur travail, d’autres le sabotent. Après avoir perdu un temps considérable simplement pour que mon dossier soit traité, je prends la peine de vous écrire en espérant que cela pourra faire avancer le système.
J’avais une assurance vie Ascendo liée à un prêt nanti. Après avoir, non sans difficultés obtenu tous les renseignements pour connaître la procédure de son remboursement, j’ai été en contact avec Mme Sylvie X de la Banque postale qui a envoyé le dossier complet à la CNP le 11 février par mail. Le 29 février j’appelle la CNP par acquis de conscience pour savoir où en était mon dossier. J’apprends que rien n’a été traité et qu’ils ne traitent rien par mail. A ce stade il est déjà incroyable que la CNP ne soit pas calée sur les procédures avec leur interlocuteur de la Banque Postale, mais admettons ! Dans ce cas, par respect pour Mme X et pour le client que je suis, la moindre des choses aurait été de renvoyer un mail indiquant que le dossier ne serait pas traité par mail.
Suite à ceci, Mme X envoie mon dossier complet par la poste le 1er mars et demande que mon dossier soit traité en priorité. Entre temps j’ai également appelé et l’on m’a garanti qu’il serait bien traité prioritairement. J’ai rappelé le 7 ou 8 mars et l’on m’a indiqué qu’il serait traité le 11 mars. Le 11 mars, nouvel appel pour apprendre qu’il n’était toujours pas traité. Lors de mon appel du 14 mars on m’a promis que mon dossier serait traité dans la semaine ! Le 22 mars j’apprenais qu’ils ouvraient seulement mon dossier. J’ai alors eu comme interlocutrice une personne très impliquée, Madame B X qui m’a demandé de rappeler le lendemain matin, de demander à parler à un responsable et qu’il serait déjà au courant.
Lors de mon appel du 23 mars j’ai eu un Monsieur qui a carrément refusé de me passer un responsable et qui m’a indiqué que je serais contacté. Trente minutes plus tard, j’ai rappelé, j’ai eu une autre personne qui m’a passé sans problème une responsable, Mme X. Cette dernière m’a confirmé que quand on le demandait on pouvait avoir au téléphone un responsable… Cette dame a parfaitement compris mon problème et m’a indiqué que la Responsable de la gestion lui avait dit que les fonds étaient enfin débloqués. Toujours par acquis de conscience et ne voyant rien venir, j’ai appelé ce mercredi 30 mars. J’ai eu le même Monsieur que le 23 mars qui m’a indiqué qu’il y avait une anomalie et que le virement n’avait pas été effectué. J’ai demandé à parler à Mme X, il a à nouveau refusé alors que je savais qu’il n’avait pas le droit de procéder ainsi. Ce Monsieur outrepasse ses prérogatives au détriment du service au client, trouvez-vous de telles dérives acceptables alors que Mme X m’a assuré qu’un point avait été fait avec cette personne ?
J’ai donc rappelé de suite et mon interlocutrice m’a passé Mme X. En fait le service gestion prétendait ne pas avoir l’autorisation du versement de la somme sur le compte de la Banque Postale. Ce qui est faux car j’avais déjà rédigé une lettre à ce sujet que Mme X m’a confirmé avoir fait suivre par courrier (ci-joint ma lettre datée du 11 février). Mme X, personne très impliquée, était très contrariée car elle s’était engagée vis-à-vis de moi et la somme n’a pas été versée. Comme moi elle n’a pas compris que nous ne soyons pas immédiatement contactés par téléphone sachant que le dossier cumulait retards et dysfonctionnements. Au lieu d’appeler, ils ont attendu le 29 mars pour m’envoyer un courrier que je n’ai toujours pas reçu à ce jour.