Plus de 30 % des accidents de la route mortels sont imputables à l'alcool.
Et pourtant les éthylotests destinés au grand public sont peu fiables. Quant au seuil légal d'alcoolémie, il suscite de nombreuses polémiques.
Moderateur
FORUM QUE CHOISIR
Éthylotests
re: l'alcool et les autres
Je suis assez d'accord avec les arguments contenus dans ce message.
L'alcool c'est comme les limitations de vitesses:
certains automobilistes sont plus dangereux avec zéro gramme que d'autres avec 0,5 g. De même certains véhicules ainsi que leurs conducteurs présentent plus derisques à 120km/h que d'autres à 150.
L'alcool c'est comme les limitations de vitesses:
certains automobilistes sont plus dangereux avec zéro gramme que d'autres avec 0,5 g. De même certains véhicules ainsi que leurs conducteurs présentent plus derisques à 120km/h que d'autres à 150.
Que faire en cas de litige ?
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UFC-Que Choisir
Que Choisir vous propose également
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UFC-Que Choisir
re: l'alcool et les autres
C'est vrai mais quelqu'un qui est dangereux à 0 gramme l'est d'autant plus à 1 gramme.
tout savoir sur l'alcool et les sanctions...
Ce que vous dites n'est pas tout à fait juste.
Et connaissant parfaitement le sujet, je me permets de
vous apporter quelques précisions...
Tout d'abord, vous reconnaissez que l'alcool est
déconseillé au volant, ce qui est déjà une preuve de sagesse.
Deuxièmement, il est vrai qu'en ce moment, au niveau
médiatique, l'accent est mis sur l'alcool et la
vitesse. A tel point que cela en devient ennervant pour
certains. Seulement voilà, c'est la volonté politique
actuelle. En effet, le combat contre l'insécurité
routière vient juste de s'engager et il faut bien
commencer par quelque-chose: alors autant s'attaquer
aux éléments les plus importants.
Vous dites qu'il y a d'autres facteurs d'accidents qui
sont minimisés voire négligés et vous citez plusieurs
exemples que je me permets de reprendre: drogue,
médicaments, inaptes à la conduite, irresponsables du
volant, téléphone, manger et boire, régler la radio, et
chercher dans leur veste ou dans leur sacoche tout en
conduisant.
Or voilà, les facteurs que vous citez ne sont pas
négligés. C'est seulement que l'on n'en parle pas dans
les médias où très peu. N'empêche que la plupart
d'entre eux sont sanctionnés et de manière très sévère.
Il ne faut pas se dire que parcequ'on ne parle pas de
quelque chose à la radio où à la télévision, tout le
monde s'en fout! Car c'est faux.
Je vais reprendre vos exemples un à un et vous apporter
des précisions pour chacun mais avant je vais vous
éclairer sur le dépistage de l'imprégnation alcoolique
effectué par les forces de l'ordre, car ce que vous
dites est faux sur la prise de sang et sur les
éthylotests.
Il y a 2 solutions:
La première est un conducteur complètement ivre qui présente des signes apparents d'ivresse (haleine
sentant l'alcool, difficulté à s'exprimer, à tenir
debout, vêtements désordonnés, etc...). Dans ce cas,
les policiers ou les gendarmes procèdent au controle,
soit suite à des zig-zag, soit suite à un accident. Là
il n'y a aucun dépistage sur place. Le conducteur est
directement conduit à l'hopital pour une prise de sang
et après il part en garde à vue pour 24 H à l'issue de
laquelle, il partira sans son permis de conduire, et
avec une convocation pour le tribunal. C'est un délit
routier et il risque une peine d'emprisonnement. C'est
ce qu'on appele "la conduite en état d'ivresse". Dans
ce cas, le taux d'alcool dans le sang révélé par la
prise de sang n'a qu'une valeur d'information. En
effet, il arrive que certains conducteur qui conduisent
en état d'ivresse présentent un taux d'alcoolémie bas.
Il sont tout de même poursuivi car ce qui est puni c'est leur incapacité à conduire suite à l'absorption d'alcool.
SIGNE: jo47 (voir suite...)
Et connaissant parfaitement le sujet, je me permets de
vous apporter quelques précisions...
Tout d'abord, vous reconnaissez que l'alcool est
déconseillé au volant, ce qui est déjà une preuve de sagesse.
Deuxièmement, il est vrai qu'en ce moment, au niveau
médiatique, l'accent est mis sur l'alcool et la
vitesse. A tel point que cela en devient ennervant pour
certains. Seulement voilà, c'est la volonté politique
actuelle. En effet, le combat contre l'insécurité
routière vient juste de s'engager et il faut bien
commencer par quelque-chose: alors autant s'attaquer
aux éléments les plus importants.
Vous dites qu'il y a d'autres facteurs d'accidents qui
sont minimisés voire négligés et vous citez plusieurs
exemples que je me permets de reprendre: drogue,
médicaments, inaptes à la conduite, irresponsables du
volant, téléphone, manger et boire, régler la radio, et
chercher dans leur veste ou dans leur sacoche tout en
conduisant.
Or voilà, les facteurs que vous citez ne sont pas
négligés. C'est seulement que l'on n'en parle pas dans
les médias où très peu. N'empêche que la plupart
d'entre eux sont sanctionnés et de manière très sévère.
Il ne faut pas se dire que parcequ'on ne parle pas de
quelque chose à la radio où à la télévision, tout le
monde s'en fout! Car c'est faux.
Je vais reprendre vos exemples un à un et vous apporter
des précisions pour chacun mais avant je vais vous
éclairer sur le dépistage de l'imprégnation alcoolique
effectué par les forces de l'ordre, car ce que vous
dites est faux sur la prise de sang et sur les
éthylotests.
Il y a 2 solutions:
La première est un conducteur complètement ivre qui présente des signes apparents d'ivresse (haleine
sentant l'alcool, difficulté à s'exprimer, à tenir
debout, vêtements désordonnés, etc...). Dans ce cas,
les policiers ou les gendarmes procèdent au controle,
soit suite à des zig-zag, soit suite à un accident. Là
il n'y a aucun dépistage sur place. Le conducteur est
directement conduit à l'hopital pour une prise de sang
et après il part en garde à vue pour 24 H à l'issue de
laquelle, il partira sans son permis de conduire, et
avec une convocation pour le tribunal. C'est un délit
routier et il risque une peine d'emprisonnement. C'est
ce qu'on appele "la conduite en état d'ivresse". Dans
ce cas, le taux d'alcool dans le sang révélé par la
prise de sang n'a qu'une valeur d'information. En
effet, il arrive que certains conducteur qui conduisent
en état d'ivresse présentent un taux d'alcoolémie bas.
Il sont tout de même poursuivi car ce qui est puni c'est leur incapacité à conduire suite à l'absorption d'alcool.
SIGNE: jo47 (voir suite...)
suite message de jo47 "tout savoir sur l'alcool......"
La deuxième solution est ce qu'on appele "la conduite
sous l'empire d'un état alcoolique CEEA" (puni de la
même manière que la conduite en état d'ivresse)
Les gendarmes ou policiers procèdent au controle de
l'alcoolémie par un dépistage par éthylotest de type A
ou B (électronique portable ou ballon). Ces éthylotest
sont fiables mais ne mentionnent pas le taux d'alcool,
il sont une simple indication signifiant qu'un conducteur est positif ou pas.
Si ce dépistage est positif, le conducteur en cause est
ramené au commissariat ou à la gendarmerie où l'on va
procéder à la vérification de son taux par un appareil
que l'on appele: éthylomètre et qui donne le taux exact
d'alcool dans le sang. Dans ce cas, aucune prise de
sang ne sera effectué sauf si le conducteur en cause
est incapable de souffler correctement (asthme par
exemple). Le refus de souffler est un délit qui est
puni du maximum de la peine.
Lorsqu'un conducteur souffle à l'éthylomètre, c'est qu'il est positif, il sera donc sanctionné. Mais il existe 2 types de sanctions, qui sont déterminées par le taux d'alcool dans le sang:
Si l'éthylomètre affiche un taux compris entre 0,25 mg et 0,39 mg d'alcool par litre d'air expiré (ou compris
entre 0,50 g et 0,80 g d'alcool par litre de sang), alors le conducteur en cause sera quitte pour un simple
timbre-amende à 135 € avec 6 points de moins sur le
permis de conduire (s'il conteste le timbre-amende, il
passera au tribunal et encourt, en plus, une suspension
de son permis).
Si l'éthylomètre affiche un taux supérieur ou égal à
0,40 mg d'alcool par litre d'air expiré (ou supérieur à
0,80g d'alcool par litre de sang), alors il s'agit d'un
délit de CEEA puni d'emprisonnement, d'une forte
amende, d'un retrait de 6 points sur le permis de
conduire et d'une suspension de ce même permis.
(les mesures effecutées par l'appareil éthylomètre sont
toujours effectuées en mg d'alcool par litre d'air
expiré. Je vous ai rajouté la conversion en grammes par
litre de sang pour une meilleure compréhension.)
Je reprends maintenant vos exemples:
La conduite d'un véhicule sous l'emprise de drogue
(même cannabis) est puni exactement comme la conduite
en état d'ivresse (peine d'emprisonnement + forte
amende), à ceci près qu'en plus, l'état peut vous confisquer votre voiture.
De plus, les policiers ou gendarmes peuvent de leur
propre initiative procéder au dépistage de stupéfiants
sur tous les conducteurs; Il n'ont besoin d'aucune
excuse, juste d'un soupçon concernant l'éventuelle
consommation de drogue.
Les médicaments eux ne sont pas dépistés sauf en cas
d'accident mortel.
SIGNE: jo47 (voir suite.....)
sous l'empire d'un état alcoolique CEEA" (puni de la
même manière que la conduite en état d'ivresse)
Les gendarmes ou policiers procèdent au controle de
l'alcoolémie par un dépistage par éthylotest de type A
ou B (électronique portable ou ballon). Ces éthylotest
sont fiables mais ne mentionnent pas le taux d'alcool,
il sont une simple indication signifiant qu'un conducteur est positif ou pas.
Si ce dépistage est positif, le conducteur en cause est
ramené au commissariat ou à la gendarmerie où l'on va
procéder à la vérification de son taux par un appareil
que l'on appele: éthylomètre et qui donne le taux exact
d'alcool dans le sang. Dans ce cas, aucune prise de
sang ne sera effectué sauf si le conducteur en cause
est incapable de souffler correctement (asthme par
exemple). Le refus de souffler est un délit qui est
puni du maximum de la peine.
Lorsqu'un conducteur souffle à l'éthylomètre, c'est qu'il est positif, il sera donc sanctionné. Mais il existe 2 types de sanctions, qui sont déterminées par le taux d'alcool dans le sang:
Si l'éthylomètre affiche un taux compris entre 0,25 mg et 0,39 mg d'alcool par litre d'air expiré (ou compris
entre 0,50 g et 0,80 g d'alcool par litre de sang), alors le conducteur en cause sera quitte pour un simple
timbre-amende à 135 € avec 6 points de moins sur le
permis de conduire (s'il conteste le timbre-amende, il
passera au tribunal et encourt, en plus, une suspension
de son permis).
Si l'éthylomètre affiche un taux supérieur ou égal à
0,40 mg d'alcool par litre d'air expiré (ou supérieur à
0,80g d'alcool par litre de sang), alors il s'agit d'un
délit de CEEA puni d'emprisonnement, d'une forte
amende, d'un retrait de 6 points sur le permis de
conduire et d'une suspension de ce même permis.
(les mesures effecutées par l'appareil éthylomètre sont
toujours effectuées en mg d'alcool par litre d'air
expiré. Je vous ai rajouté la conversion en grammes par
litre de sang pour une meilleure compréhension.)
Je reprends maintenant vos exemples:
La conduite d'un véhicule sous l'emprise de drogue
(même cannabis) est puni exactement comme la conduite
en état d'ivresse (peine d'emprisonnement + forte
amende), à ceci près qu'en plus, l'état peut vous confisquer votre voiture.
De plus, les policiers ou gendarmes peuvent de leur
propre initiative procéder au dépistage de stupéfiants
sur tous les conducteurs; Il n'ont besoin d'aucune
excuse, juste d'un soupçon concernant l'éventuelle
consommation de drogue.
Les médicaments eux ne sont pas dépistés sauf en cas
d'accident mortel.
SIGNE: jo47 (voir suite.....)
jo47 suite 2 : "tout savoir sur l'alcool........."
Les inaptes à la conduite sont également sanctionnés:
Il s'agit principalement des jeunes conducteurs et des
personnes agées. ils risquent un retrait de leur permis de conduire immédiat sur place (cette mesure est appliquée depuis environ six mois, depuis que la loi existe, cela
concerne les jeunes conducteurs qui ont commis une
infraction ayant occasionné un accident ou ayant
faillit occasionner un accident et les personnes agées
jugée incapables de conduire). Les policiers ou gendarmes qui jugent un conducteur incapable de conduire, peuvent lui retirer le permis de conduire sur place et l'obliger à consulter un médecin désigné par l'admnistration et qui déterminera si le permis doit être restitué ou non.
Les irresponsables du volant, eux, sont sanctionnés tous les jours par les forces de l'ordre. Il n'y a pas un policier ou un gendarme à chaque carrefour (heureusement d'ailleurs), ce qui explique que certains conducteurs irresponsables s'en tirent régulièrement, ce qui nous ennerve, nous qui respectons le code de la route et les autres usagers de la route et qui un jour allons commettre un petite infraction involontairement et allons être sanctionné (mais ça c'est un autre débat auquel je me ferai un plaisir de participer si quelqu'un en fait la demande).
Vous parlez ensuite des conducteurs qui continuent de
téléphoner au volant. Vous avez raison, il y en a
encore énnormément. Mais savez-vous que l'usage du
téléphone portable au volant entraine le retrait de 2
points sur le permis de conduire (soit 1/6 du capital
de point). A titre d'information, cette infraction peut
être relevée même si le véhicule ne roule pas (par
exemple: arrêté à un feu rouge). Si le véhicule se
trouve sur une voie ouverte à la circulation, moteur en
marche et que le conducteur tient son portable dans la
main, il est en infraction (même sans téléphoner).
Le fait de manger, de boire, de règler l'auto-radio, ou
de chercher quelque chose dans sa veste, en conduisant
est très dangereux, il est vrai, et souvent facteur
d'accident. C'est une infraction qui est prévue par le
code de la route et qui est seulement sanctionné par
une petite amende de 22 euros.
Toutefois, cette infraction n'est que très rarement
relevé par les forces de l'ordre. En effet, pour la
plupart des conducteurs, la voiture est le prolongement
de leur propriété et ils ne comprennent pas qu'on leur
interdise de faire ce qu'il veulent à l'intérieur.
C'est, pour eux, une atteinte à leur liberté.
Heureusement, les mentalités évoluent.
SIGNE: jo47 (voir suite.......et fin.)
Il s'agit principalement des jeunes conducteurs et des
personnes agées. ils risquent un retrait de leur permis de conduire immédiat sur place (cette mesure est appliquée depuis environ six mois, depuis que la loi existe, cela
concerne les jeunes conducteurs qui ont commis une
infraction ayant occasionné un accident ou ayant
faillit occasionner un accident et les personnes agées
jugée incapables de conduire). Les policiers ou gendarmes qui jugent un conducteur incapable de conduire, peuvent lui retirer le permis de conduire sur place et l'obliger à consulter un médecin désigné par l'admnistration et qui déterminera si le permis doit être restitué ou non.
Les irresponsables du volant, eux, sont sanctionnés tous les jours par les forces de l'ordre. Il n'y a pas un policier ou un gendarme à chaque carrefour (heureusement d'ailleurs), ce qui explique que certains conducteurs irresponsables s'en tirent régulièrement, ce qui nous ennerve, nous qui respectons le code de la route et les autres usagers de la route et qui un jour allons commettre un petite infraction involontairement et allons être sanctionné (mais ça c'est un autre débat auquel je me ferai un plaisir de participer si quelqu'un en fait la demande).
Vous parlez ensuite des conducteurs qui continuent de
téléphoner au volant. Vous avez raison, il y en a
encore énnormément. Mais savez-vous que l'usage du
téléphone portable au volant entraine le retrait de 2
points sur le permis de conduire (soit 1/6 du capital
de point). A titre d'information, cette infraction peut
être relevée même si le véhicule ne roule pas (par
exemple: arrêté à un feu rouge). Si le véhicule se
trouve sur une voie ouverte à la circulation, moteur en
marche et que le conducteur tient son portable dans la
main, il est en infraction (même sans téléphoner).
Le fait de manger, de boire, de règler l'auto-radio, ou
de chercher quelque chose dans sa veste, en conduisant
est très dangereux, il est vrai, et souvent facteur
d'accident. C'est une infraction qui est prévue par le
code de la route et qui est seulement sanctionné par
une petite amende de 22 euros.
Toutefois, cette infraction n'est que très rarement
relevé par les forces de l'ordre. En effet, pour la
plupart des conducteurs, la voiture est le prolongement
de leur propriété et ils ne comprennent pas qu'on leur
interdise de faire ce qu'il veulent à l'intérieur.
C'est, pour eux, une atteinte à leur liberté.
Heureusement, les mentalités évoluent.
SIGNE: jo47 (voir suite.......et fin.)
jo47 suite et fin : "tout savoir sur l'alcool........"
Voilà, alors lorsque vous dites que tous ces facteurs
sont minimisés voire négligés, c'est faux, c'est
simplement que les médias n'en parlent pas ou peu.
Mais il y a des gens qui se battent tous les jours contre les délinquants routiers et qui luttent pour rendre les routes plus sures.
Pour finir,
s'il est vrai que certains conducteurs sont nettement
plus dangereux sans avoir consommé d'alcool que d'autres conducteur à 0,5 g, IL NE FAUT PAS OUBLIER LES VICTIMES de tous les conducteurs en état d'ivresse ou sous l'empire d'un état alcoolique.
A mon avis, la seule solution est d'interdire
totalement l'alcool au volant. Certains conducteurs ne
pourront plus se dire:"allez un dernier verre et c'est
bon je dois être juste à la limite". Ce serait zero et
c'est tout, on serait à quoi s'en tenir.
C'est ce qui ce fait pour la conduite sous l'emprise de
produits stupéfiants (il n'y a aucune notion de taux,
c'est interdit et puis c'est tout). Alors pourquoi ne
pas l'appliquer pour l'alcool.
PS: si quelqu'un veut des précisions sur le sujet,
qu'il me laisse un message, j'y répondrai avec plaisir.
SIGNE: jo47 - un internaute impliqué dans la lutte contre l'insécurité routière.
sont minimisés voire négligés, c'est faux, c'est
simplement que les médias n'en parlent pas ou peu.
Mais il y a des gens qui se battent tous les jours contre les délinquants routiers et qui luttent pour rendre les routes plus sures.
Pour finir,
s'il est vrai que certains conducteurs sont nettement
plus dangereux sans avoir consommé d'alcool que d'autres conducteur à 0,5 g, IL NE FAUT PAS OUBLIER LES VICTIMES de tous les conducteurs en état d'ivresse ou sous l'empire d'un état alcoolique.
A mon avis, la seule solution est d'interdire
totalement l'alcool au volant. Certains conducteurs ne
pourront plus se dire:"allez un dernier verre et c'est
bon je dois être juste à la limite". Ce serait zero et
c'est tout, on serait à quoi s'en tenir.
C'est ce qui ce fait pour la conduite sous l'emprise de
produits stupéfiants (il n'y a aucune notion de taux,
c'est interdit et puis c'est tout). Alors pourquoi ne
pas l'appliquer pour l'alcool.
PS: si quelqu'un veut des précisions sur le sujet,
qu'il me laisse un message, j'y répondrai avec plaisir.
SIGNE: jo47 - un internaute impliqué dans la lutte contre l'insécurité routière.
Le combat pour une route plus sûr ne fait que commencer
J'ai apprècié vos rèponses au message " l'ALCOOL ET LES AUTRES ".
Aujourd'hui je constate que deux facteurs d'accidents sont pourchassés : La vitesse et parfois l'alcool.
J'ai passé toute ma carrière sur les routes en qualité de commercial en 35 ans j'ai été contrôlé deux fois en ce qui concerne l'alcool, dont une fois en vacances ( négatif ).
Tous les jours j'ai pu assister aux infractions des conducteurs que j'ai citées. Aujourd'hui encore, de nombreux conducteurs continuent de se permettrent de conduire en prenant de nombreux risques^envers les autres et pour eux-mêmes. ( les fanatiques du volants, les conducteurs en retard ne voient plus le danger et deviennent des meutriers en puissance, je les considère aussi dangereux que les alcooliques, tous les jours, ils sont sur la route )
Dernièrement j'ai fait 5000 km en 10 jours, si j'avais pu filmer ce que j'ai vu, c'est très angoissant. On aurait pu constater qu'il y a beaucoup de chemin à parcourir pour que la conduite devienne plus sécurisante pour chacun.
En ce qui concerne les dangers des drogués par les mèdicaments, je tiens mes informations de membres du corps mèdical qui savent que certains de leurs patients conduisent, sous l"emprise de mèdicaments fortement déconseillés.
La gendarmerie peut vous confirmer que leurs appareils ne sont pas prècis et que des petits malins peuvent diminuer le taux d'alcool en mettant la langue en avant tout en soufflant. Dans certains cas les prises de sang s'imposent.
Le combat pour que la route devienne plus sûr ne fait que commencer.
Aujourd'hui je constate que deux facteurs d'accidents sont pourchassés : La vitesse et parfois l'alcool.
J'ai passé toute ma carrière sur les routes en qualité de commercial en 35 ans j'ai été contrôlé deux fois en ce qui concerne l'alcool, dont une fois en vacances ( négatif ).
Tous les jours j'ai pu assister aux infractions des conducteurs que j'ai citées. Aujourd'hui encore, de nombreux conducteurs continuent de se permettrent de conduire en prenant de nombreux risques^envers les autres et pour eux-mêmes. ( les fanatiques du volants, les conducteurs en retard ne voient plus le danger et deviennent des meutriers en puissance, je les considère aussi dangereux que les alcooliques, tous les jours, ils sont sur la route )
Dernièrement j'ai fait 5000 km en 10 jours, si j'avais pu filmer ce que j'ai vu, c'est très angoissant. On aurait pu constater qu'il y a beaucoup de chemin à parcourir pour que la conduite devienne plus sécurisante pour chacun.
En ce qui concerne les dangers des drogués par les mèdicaments, je tiens mes informations de membres du corps mèdical qui savent que certains de leurs patients conduisent, sous l"emprise de mèdicaments fortement déconseillés.
La gendarmerie peut vous confirmer que leurs appareils ne sont pas prècis et que des petits malins peuvent diminuer le taux d'alcool en mettant la langue en avant tout en soufflant. Dans certains cas les prises de sang s'imposent.
Le combat pour que la route devienne plus sûr ne fait que commencer.
re: Éthylotests
>
Heum, disons plutot que l'on retrouve une alcoolémie supérieure au seuil autorisé chez plus d'un tiers des responsables d'accidents, ça serait préférable : bien plus sur et surtout moins controversable !! Sinon l'on pourrait aussi dire, de manière aussi faux-cul que les autorités : "X % des accidents sont imputables à des voitures grises"...
...reste à définir "imputables" : bien différent de "imputés" et juste probable...
En effet, si un conducteur conduit en "fonzie", même si son alcoolémie est trop forte c'est son comportement routier qui semble le plus dangereux, comparée à son état d'ivresse. Et ivre ou non, il risque fort d'adopter le même. Et si ses réactions sont meilleures en état non ivre (indiscutable pour un individu donné), elles ne pourront pas toujours le sortir de situations de toute façon bien trop dangereuses !
De plus, un fumeur qui posera ses cendres est tout autant distrait qu'un mélomane qui reglera son auto-radio voire cherchera sa K7. Pourtant, le premier ne sera jamais inquiété, question d'us et coutumes et non pas dangerosité.
Prendre des critères objectifs et mesurables aisément, au seuil constant (d'un agent de force de l'ordre à l'autre notament), c'est bien et on ne peut pas s'y opposer.
Mais négliger les autres aspects c'est nul : combien d'automobilistes se rabattant juste devant un autre véhicule (queue de poisson même s'il ne s'en apperçoit pas) sont verbalisés ? Combien d'oublis de clignottants (doublement, rabbattement, changements de files) sont relevés ? Combien de slalomeur dans des files ininterrompues de voitures sont punis ?
Certes c'est difficile (voire impensable) de mettre en place des systèmes efficaces de controle sur ces incivilités (ou plutot méconnaissance du code doublée de méprise des autres usagers)... mais les forces de l'ordre n'ont pas non plus communiqué à ce sujet !!
L'alcool a fait oublier les distances de sécurités, et jamais on a parlé des soucis de signalements pourtant indispensables à l'anticipation, mère de sécurité. Communiquer (et verbaliser) sur clignotants et changements de file améliorerait considérablement la situation et permettrait dans ces conditions un relèvement des vitesses limites
!
Alors à quand l'information et surtout la réelle sensibilisation :
- des "pères de familles respectables" qui ne respectent jamais les distances ni devant et encore moins derrière eux ?
- des "papis qui promènent leur casquette" à cheval sur la ligne ?
- des stationnés n'importe où, en plein milieu du carrefour ou de la nationale ?
- des "d'jeun'z" un peu trop vifs à changer de file ?
- des "crispés du volant sur la voie du milieu" ?
Bien sur ce ne soient que des clichés, ils peuvent se rêveler tout aussi dangereuex que des alcooliques, drogués ou fous du volant...
et surtout, ils sont bien plus nombreux !
L'alcool apparait plus comme un facteur agravant qu'une cause d'accidents
PriMatt
Heum, disons plutot que l'on retrouve une alcoolémie supérieure au seuil autorisé chez plus d'un tiers des responsables d'accidents, ça serait préférable : bien plus sur et surtout moins controversable !! Sinon l'on pourrait aussi dire, de manière aussi faux-cul que les autorités : "X % des accidents sont imputables à des voitures grises"...
...reste à définir "imputables" : bien différent de "imputés" et juste probable...
En effet, si un conducteur conduit en "fonzie", même si son alcoolémie est trop forte c'est son comportement routier qui semble le plus dangereux, comparée à son état d'ivresse. Et ivre ou non, il risque fort d'adopter le même. Et si ses réactions sont meilleures en état non ivre (indiscutable pour un individu donné), elles ne pourront pas toujours le sortir de situations de toute façon bien trop dangereuses !
De plus, un fumeur qui posera ses cendres est tout autant distrait qu'un mélomane qui reglera son auto-radio voire cherchera sa K7. Pourtant, le premier ne sera jamais inquiété, question d'us et coutumes et non pas dangerosité.
Prendre des critères objectifs et mesurables aisément, au seuil constant (d'un agent de force de l'ordre à l'autre notament), c'est bien et on ne peut pas s'y opposer.
Mais négliger les autres aspects c'est nul : combien d'automobilistes se rabattant juste devant un autre véhicule (queue de poisson même s'il ne s'en apperçoit pas) sont verbalisés ? Combien d'oublis de clignottants (doublement, rabbattement, changements de files) sont relevés ? Combien de slalomeur dans des files ininterrompues de voitures sont punis ?
Certes c'est difficile (voire impensable) de mettre en place des systèmes efficaces de controle sur ces incivilités (ou plutot méconnaissance du code doublée de méprise des autres usagers)... mais les forces de l'ordre n'ont pas non plus communiqué à ce sujet !!
L'alcool a fait oublier les distances de sécurités, et jamais on a parlé des soucis de signalements pourtant indispensables à l'anticipation, mère de sécurité. Communiquer (et verbaliser) sur clignotants et changements de file améliorerait considérablement la situation et permettrait dans ces conditions un relèvement des vitesses limites
!
Alors à quand l'information et surtout la réelle sensibilisation :
- des "pères de familles respectables" qui ne respectent jamais les distances ni devant et encore moins derrière eux ?
- des "papis qui promènent leur casquette" à cheval sur la ligne ?
- des stationnés n'importe où, en plein milieu du carrefour ou de la nationale ?
- des "d'jeun'z" un peu trop vifs à changer de file ?
- des "crispés du volant sur la voie du milieu" ?
Bien sur ce ne soient que des clichés, ils peuvent se rêveler tout aussi dangereuex que des alcooliques, drogués ou fous du volant...
et surtout, ils sont bien plus nombreux !
L'alcool apparait plus comme un facteur agravant qu'une cause d'accidents
PriMatt
re: l'alcool et les autres
Je suis désolé que l'on puisse confondre entre l'alcool et de boire un verre de bon vin en mangeant l'alcool et le vin deux choses trés différents.Entre un verre de pastis 45° et un verre de bon vin autour de 12°
Ne parlons pas de drogue au volant
Ne parlons pas de drogue au volant
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