Ce que je trouve scandaleux, c''est que vous vous permettiez de porter un jugement péremptoire sur des textes que vous n''avez ,visiblement, même pas lus! Votre enquête s''en trouve pervertie... Je vous encourage à lire, au moins, ce qu''en dit le professeur Joyeux dans sa préface : »Jean a ouvert des voies nouvelles en thérapeutique en simplifiant ou supprimant des traitements complexes, coûteux et inutiles. Beaucoup de ses collègues furent surpris d''abord, puis purent vérifier que ses conseils thérapeutiques étaient basés scientifiquement »
Que savez-vous des études en « double aveugle »? Sans doute pas grand chose, sinon vous n''écririez pas autant de contre vérités..Le document de l''Afssa auquel votre article fait référence, démontre aussi la complexité de telles recherches: aucune des 9 études n''a pu remplir les conditions de fiabilité indispensables…Lorsque l''Afssa conclue: « les données scientifiques actuelles ne permettent pas de conclure à un effet bénéfique... », de quel droit transformez-vous cette conclusion en: » on ne peut jurer de l''innocuité de tels régimes restrictifs... »?
Quel objectif avez-vous poursuivi dans cet article? L''information objective, ou une démonstration visant à convaincre vos lecteurs que seule votre thèse est la bonne?
Avez-vous vérifié les capacités de vos interlocuteurs à traiter de nutrition? Leur impartialité? L''absence de conflit d''intérêt?quelle écoute (et donc quel respect) avez-vous accordée aux malades tirant bénéfice de ce régime ?
Quelle est votre formation? Vous donne-t-elle autorité pour traiter de questions aussi complexes?
A 75 ans, retraitée depuis longtemps, ma formation initiale s''est déroulée à « l''institut scientifique d''hygiène alimentaire » .Mon intérêt pour la diététique et pour la recherche est toujours vivant! J''ai donc lu avec attention les ouvrages et textes de Kousmine, Fradin, Seignalet.(entre autres),et avec plus d''attention encore le document afssa dont vous avez vous-même conseillé la lecture.