Deremboursement de certains medicaments

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Comme il est impossible de comparer dans differentes pharmacies les medicaments derembourses(manque de temps,personnes agees,une seule pharmacie dans le village etc...)et que les medecins les prescrivent toujours malgre une efficacite relative. Il me semble imperatif de demander a la Ministre de la Sante d'imposer a tous les pharmaciens la meme marge beneficiaire raisonnable (cela a ete possible pour les libraires).Il n'est plus possible pour les malades de subir les depassements d'honoraires de certains professionnels de sante ainsi que la franchise medicale, et les prix de certains medicaments. Quant aux laboratoires nous ne connaissons pas les benefices realises, c'est au gouvernement de defendre les malades,nous pouvons seulement constates l'abus d'un bon nombre pharmaciens.
Maud

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OSMOGEL n''est plus remboursé.Pas de prix indicatif sur l''emballage donc soumis à l''appréciation financière du pharmacien .Conditionnement du gel en tube de 90g.
Une fois le tube entamé, pour ma part il en reste au moins 60g, il faut attendre une hypothétique 2ème maladie du même type pour réutiliser ce même tube sans garantie d''efficacité.
Il faudrait des conditionnement en dosettes individuelles préservant l''intégrité du produit non entamé.
Dans les pays nordiques dont on ferait bien de s''inspirer, les petits conditionnements existent.
Je comprends bien que ce n''est plus le problème ni de la CNAM ni des labos et que le consommateur n''a plus qu''à payer en plus de sa Sécu et de sa Mutuelle qui lui servent de moins en moins.
Vendons tous ces "médicaments" en grande surface ce sera plus honnête puisqu''ils ne sont pas efficaces.

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Le jugement de l''efficacité des produits
déremboursé, dépend simplement de la santé des
comptes de la Sécurité Sociale. Comment expliquer
le remboursement de l''homéopathie alors qu''aucune
étude scientifique ne montre son efficacité (moins
d''effet que les 3/4 des produits déremboursés)?
C''est simple, elle est peut couteuse et satisfait
certains patients pour un moindre cout.
Concernant les écarts de prix des médicaments
déremboursés, l''idée d''un prix maximum fixé est
bonne, mais l''idéal pour que cela fonctionne est
de fixer aussi un prix minimum, afin de lisser les
écarts, et que les pharmacies de village ne
disparaissent pas. Il faut essayer d''envisager des
solutions globales amenant à un équilibre.