La qualité des produits fait l'objet d'une communication et d'une concurrence importante depuis longtemps. L'emballage débute sur ce terrain. On observe alors des ratés lorsque le surcoût du paquet doit être minimisé à l'excès. L'exemple qui m'inspire est un emballage de beurre (marque carrefour) désigné comme indéchirable et qui en fait se désagrège un peu plus à chaque fois que vous l'utilisez. Pour être plus précis, les vernis de couleur de la couche extérieure du papier se décollent et incidieusement vont se retrouver sous forme de paillettes dans le beurre.
La taille des paillettes (certaines sont jaunes) ne permettant pas de les détecter facilement. Ceci nous amène à la conclusion :
rendement et profit touchent également les emballages en augmentant les risques sur la santé. Quels gardes fous peuvent être mis en oeuvre lorsque les services consommateurs des fabricants restent sourds aux remarques sur leurs produits défaillants ?
- une liste des produits alimentaires tenue à jour (apparition du pb, nature, actions en cours, contact ...)
- une étude ciblée par gamme de produit avec en paralèlle la qualité du contenu et du contenant.
UFC peut-elle s'impliquer ?