La spirale de l'endettement, l'acharnement des banques

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L'un de mes proches s'est surendetté. ne s'en sortant pas, il a demandé à la Banque de France de lui ouvrir un dossier de surendettement qui a été accepté.
Bien décidé à s'en sortir, il souhaite rembourser tous ses créanciers donc les banques.
Après l'avoir inondé de frais et d'agios, le banques continuent de le couvrir de frais ( cités dans les différents messages.) Le Crédit Lyonnais ne voulait plus lui donner de carnets de chèques, ni de carte bleue, mais encaisser son salaire. Il lui demandait de venir chercher du liquide à la caisse en lui facturant 7 à 8 € à chaque fois.
Sans carnet de chèque, il ne pouvait plus rembourser personne.
Il a changé de banque il est au Crédit Agricole, je l'ai recommandé sans être vraiment caution, je lui fais confiance, depuis quatre mois, il rembourse ses dettes et n'a aucun découvert.
Je ne comprends pas l'acharnement des banques à vouloir profiter de toutes les situations : Les riches, les classes moyennes et les pauvres tout le monde passe à la caisse.
Les banques ne devraient pas piller voire achever ceux qui se sont endettés, mais les guider, elles y trouveraient certainement leurs comptes.

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Nos ancêtres avaient la taille, la gabelle et la dîme, nous nous avons toujours les impôts mais aussi les banques qui ont mis en place un système quasi féodal de prélèvement sur chacun d'entre nous, ils sont arqueboutés dans leurs chateau-coffres forts prêts à nous balancer non pas de l'huile bouillante mais des agios, des frais de ceci des frais de cela.
Freres et soeurs unissons nous, et partons à l'assaut de ces forteresses qui veulent nous réduire au servage ! avec Que choisir en tête !!!!!!!!

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belle démonstration imagée que j'approuve, il est grand temps que les clients des banques réagissent et n'acceptent plus ce raket légalisé.

Le ministre des finances peut intervenir et imposer des tarifs raisonnables, acceptables voire supportables.
Mais voilà, le ministre ne va pas se priver de revenus faciles dans ces moments difficiles.