Messagepar persephone » 11 oct. 2012, 10:02
Bonjour,
Il est vrai que Beljansky a fait du très bon travail. Cela dit ,il existe aussi d'autres thérapeutiques, entre autres les sels biochimiques de Schuessler, dont l'effet anti-cancer est avéré. Mon père a été traité pour une prostate un peu trop grosse, à l'âge de 85 ans et cela a été une catastrophe. J'avais 25 ans, à l'époque, et je me rappelle très bien des effets qui ont suivi. Mon père s'était retrouvé avec un blocage urinaire, mais je n'ai jamais su si c'était vraiment la prostate. Il pouvait être aussi victime d'une simple crampe de la vessie, cela m'arrive à moi aussi très souvent. Je ne panique pas : un cataplasme d'argile, un peu d'homéopathie et tout rentre dans l'ordre. Je n'ai pas eu trop à me plaindre de la clinique, dans l'ensemble, mon père a été bien traité. Le chirurgien, grand absent à partir de l'opération, ne s'est exprimé qu'une seule fois après l'opération. On avait donné comme traitement de suivi du Distillbène à mon père. Il s'est retrouvé brusquement avec une atrophie des organes sexuels, il a commencé à avoir des "seins", puis le foie s'est complètement délabré. Environ un an plus tard, il a eu une fracture du col du fémur. Lorsque nous sommes arrivés aux Urgences, on nous a dit que c'était une ostéoporose. L'urgentiste nous a demandé s'il n'avait pas été récemment opéré de la prostate. Il nous a alors appris que les traitements hormonaux prescrits pour éviter la récidive de l'hypertrophie de la prostate avaient comme effet secondaire de provoquer de l'ostéoporose! J'ignore si on a convenablement posé la prothèse, mais toujours est-il que mon père n'a jamais pu remarcher, qu'il est resté incontinent et qu'il a fini par mourir de dégoût de cette vie. Mon père, avant cet incident urinaire, était quelqu'un qui était en parfaite santé. Il avait 60 ans lorsque je suis née, mais il n'a jamais eu le moindre problème de santé. Quelque temps avant cette opération, il m'accompagnait encore dans les musées, marchait normalement, n'avait perdu aucune faculté intellectuelle. Le pauvre est devenu brusquement un infirme et son incontinence lui a empoisonné les dernières années de sa vie.
Je suis maintenant naturopathe et je soigne souvent des problèmes de ce genre. Avec de l'homéopathie, de la phyto et de l'argile, c'est incroyable les résultats qu'on obtient. J'arrive aussi quelquefois à réparer les dégâts des opérations, mais les mutilations en tout genre et les effets secondaires des traitements sont infiniment plus difficiles à soigner que les maladies elles-mêmes.
Pour finir, un bon vieux remède de bonnefemme en prévention des troubles de la prostate. La tisane de prêle, une tasse chaque soir au coucher, fait des merveilles. Ici, en Haute Normandie, on l'utilisait autrefois à partir de 40 ans, et, quand je suis arrivée ici, personne ne souffrait de prostatite... Cette plante a aussi l'intérêt d'éviter la décalcification due à l'âge. Ajoutez un cataplasme d'argile sur le bas du ventre, deux ou trois fois par semaine, pendant que vous regardez la télévision, le soir, réduisez tabac, viande, café, produits laitiers et nourrissez-vous sainement, c'est encore le meilleur moyen de ne pas vous retrouver avec un cancer de la prostate.