Né et ayant vécu jusqu'à ma majorité avec 3 vacches sur 2 hectares avec poules et lapin, enfin en autarcie et en système naturel j'aime et respoecte la nature. Le bio est un terme certifié de subventions pour les machins et un support publicitaire pour la grande distribution.
Bien sûr que je mange "bio" en faisant partie d'une coopérative et surtout en ayant mon jardin sans pesticide engrais et ou déchets et mes fournisseurs locaux en viande et fromages au lait cru sans emballage, transports et conservation.
En 1976, mon médecin de famille a appelé mon épouse pour lui signaler que je ne passerai pas l'anné car il ne comprenait pas que je sois vivant avec un tel taux de lipide !
ans de traitement intensif m'on démoli. Depuis 80 homéopathie et quelques 95000 heures de travail qui m'ont cassé par accidents de travail, brisé mais vivant.
Le bon n'est pas forcement bon, l'habit ne fait pas le moine !
Hippocrate éminent scientifique dont la médecine fait serment sur ses bases dit :
"Que l'aliment soit ton premier médicament"
Ce serment et engagement semble ignorer par les autoirités médicales tous ces machins de contrôle et de penée unique et surtout de nos politiques qui confie l'alimentation. au ministère de la pollution.
Le "BIO" peut peut-être devant la demande des consommateurs, ouvrirent les yeux de nos ploutocrates en les avisant que nous voyons leurs manipulations et que nous en avons assez de subir la pollution de l'air, de l'eau et de la terre et le comble en payant pour cette pollution.
Les industrioculteurs consomment 85 % de l'eau et n'en paie que 5 %, eau qu'ils rendent impropre à la consommation, à la baignade à la pêche etc..
5 % touchent 85 % des subventions
Paul Valéry avait raison lorsqu'il écrivait :
Les pubs et les subventions sont les ennemis de la liberté
Les pollueurs doivent devenir les payeurs, comme le chiffre d'affaires et les énergies polluantes supporter la protection sociale au lieu des taxes sur salaires.
Nous marchons sur la tête. Au lieu de stade, offrons à nos jeunes désoeuvrés des jardins de rencontres, de cultures au propre et au figuré et du sens de l'effort et surout de la condition unique de vie en societé : "Dabord ne pas nuire et chercher la cause de la cause". Tous les êtres vivants, animal ou végétal, méritent le respect et nous le rendent au centuple !
Le contraire de notre société de transport et de conservation murissage par le froid.
Je termine pas des maximes d'hommes debout :
Barbey d'Aurévilly :
"Il y a plus bas que le ventre, il ya ce qu'on y met et ce qui en sort. Aujourd'hui on nous donne de la charcuterie, demain ce sera de la vidange" et le désarroi de SS Pie XII
Je m'insurge contre la medecine de troupeau, qui asservi le malade aux appétits mercantiles
des grands laboratoires et le bien portant aux appétits encore plus meurtiers des fabricants de vaccins"
Puisse l'Afssap et con sorts l'entendre et le comprendre !