accueil dans un commissariat d'une victime d'agression

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On pourrait croire que c'est un conte mais non. Sur Montpellier, le commissarait central possède un bureau d'aide aux victimes d'agression, toutes agressions (femmes battues également). Les personnes qui vous recoivent sont compétentes et à l'écoute. Par contre, et c'est du vécu par ma propre fille, lorsque cela vous arrive la nuit, c'est aux urgences de l'hôpital que ça pêche. Ma fille s'est faite agresser en soirée, elle a attendu aux urgences où l'avait accompagnée la police, la moitié de la nuit, "pissant" le sang (coup de boule !) et s'essuyant comme elle pouvait avec ses vêtements. Nombre de personnes sont passées devant elle, pas un mot, pas une aide. Au total fracture du haut du nez, 7 points de suture etc... On touche le fond dans certains hôpitaux. Je n'ai absoluments rien à reprocher aux forces de police dans ce cas précis. Et même après l'agréssion, elle est retournée déposer plainte, on l'a écoutée, orientée vers une structure psy. On lui a bien indiqué la marche à suivre au niveau juridique. C'est un lieutenant de police qui l'avait reçue, très formé à ce genre de cas.

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Toutes mes excuses, mais mon texte est long, mais l’histoire aussi je l'ai passé en 2 fois.. (gendarmerie et commissariat de quartier)
Suite de Juillet 2006 .. nous sommes en août 2006, je rentre chez moins avec sur le dos le poids d’un délit de fuite.
J’en parle sur le net et on me conseille de porter plainte auprès du Procureur de la République, ce que j’ai fait et ……….. j’ai été à nouveau auditionnée .. toujours dans ce commissariat et oui .. par le même agent ! Il ne m’a toujours pas dit ce que j’aurais dû savoir. Le texte confirmation de la plainte a été tapé par lui et il n’a pas noté exactement ce que je disais. Il arrangeait à sa manière. Bien sur il était concerné car j’avais parlé de lui dans mon courrier au Procureur. Depuis ? Rien ! J’ai écrit à nouveau au Procureur, l’affaire est en instruction m’a-t-on répondu. Le jeunot ? il doit être majeur maintenant et où est-il ?
En écrivant ce texte, ça me fait penser à faire une nouvelle démarche pour connaître la suite donnée à cette histoire. Merci de m’avoir lue. J’ai la poisse qui me suit (j’espère que nous sommes peu dans ce cas) et qu’elle va se décoller de moi rapidement !

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Mon texte est long, mais l’histoire aussi .. (gendarmerie et commissariat de quartier)
Juillet 2006 – courrier dans ma boîte à lettres : convocation au Commissariat de quartier pour début août ! Je ne peux attendre, j’y vais avec ma moto grise achetée en janvier. A l’accueil, on me dit que j’ai dû être témoin d’un accident – ce n’est pas le cas ! – Elle demande par téléphone intérieur à l’agent qui me convoque, de quoi il s’agit. « Délit de fuite » Houahhhhhhh surprise ! Je patiente et enfin l’agent descend et confirme. Comme je niais, il va chercher le dossier « Vous êtes propriétaire d’une moto immatriculée ……. 83 et vous avez fait tomber un jeune qui roulait en scooter » - « mais où ? et mon immatriculation n’est pas 83 mais 06 et j’ai changé de moto depuis le début de cette année » - « mais c’était en octobre 2005 » RE surprise car je me sauve des scooters qui roulent comme des fêlés ici !
J’ai fait la recherche de cette date en 2005 et j’ai trouvé, je n’étais pas dans le Var mais dans les environs de Nice avec des amis.
Le jour de l’audition l’agent ne m’a pas lu la plainte déposée contre moi. Il n’a pas voulu me dire qui en était l’auteur, qui était ce « jeune ». J’ai réussi à savoir que j’aurais doublé ce jeune (dans un endroit que je ne fréquente pas, route d’accès à Puget s/argent) et en passant je lui aurais donné un coup avec la main (droite certainement car il n’était pas précisé que je doublais à droite), et que ce garçon de 16 ans serait tombé. Il a été transporté à l’hôpital et le lendemain, il a déposé plainte. L’agent a eu du mal de prendre ma déposition et a même dit que c’est possible qu’un motard fasse ça (il est lui-même motard et donc il sait de quoi il parle). J’oubliais de préciser : je suis une femme née en 1951 et j’ai eu le permis moto en 2002 …. soit 3 ans après je joue les acrobates pour faire tomber un pauvre gosse qui roule sagement. « Mais quand a-t-il pu relever mon n° de moto ? » et bien ce n’est que 18 jours après qu’il l’a donné (il avait dû me voir passer sur la RN7). La gendarmerie du lieu a pris une plainte pareille et a fait des recherches de plus de 6 mois pour me retrouver avec une fausse immatriculation. L’agent en a quand même convenu, mais il me pensait toujours coupable, puisqu’il n’a rien changé de son texte d’audition. Plus facile pour lui et on passe à autre chose !!! J’ai cité le nom des amis avec qui j’étais .. il m’a dit « c’est vraiment nécessaire de les mettre ? » .. puis il voulait n’en mettre qu’un !
J’ai demandé de porter plainte contre cette personne (toujours anonyme pour moi) qui a osé me citer dans cette histoire. A ce moment l’agent m’a dit que ce n’est pas possible. Je suis repartie avec tout ce poids sur le dos.
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