bonjour,
j'ai fait part de ce problème à l'association locale UFC que choisir
En qualité d'adhérent, j'ai été victime de cyber-harcèlement de la part de professeurs du wellness sport club un peu trop "virils".
difficile de résumer le problème, j'ai reçu des menaces physique la semaine de mon arrivée en début 2022, j'ai déposé une plainte et fait 2 courriers au club accompagné d'une copie de la plainte. le club a ignoré mes lettres. j'ai fini par laissé couler, en pensant que le problème se calmerait de lui même.
en août 2023, un autre professeur, appariement collègue du premier, menace de m'envoyer en prison, pour des propos que je n'ai jamais prononcés. j'essaye de discuter de la situation avec des collègues à ce professeur, collègues qui ont des réactions haineuses à leur tour (tous me bloquent sur les réseaux sociaux, en "soutien" au prof qui veut m'envoyer en prison et que j'aurai soit-disant calomnié).
j'ai alors contacté le directeur de ce club, le président/actionnaire de ce club, la cellule france victimes qui gère la discrimination dans sle sport, le défenseur des droits, le ministre de la justice, quelques journaux locaux, évidement que choisir. j'ai aussi contacté mon médecin qui m'a fait un arrêt maladie et depuis je vois un psychiatre.
le problème n'est pas tant le problème, mais ses conséquences. il ne s'agit pas que d'un bien que j'airai consommer ailleurs, mais d'une communauté et d'une logique de rentabilité appliqué à l'accès à cette communauté, un peu à l'image de la médecine et des hôpitaux qui se soucient davantage de leurs profits que de la qualité des soins prodigués.
aujourd'hui je perds les 5000 amis que je cotoyais dans ce club, je me suis inscrit dans un club de machines en libre services ou chacun fait son sport dans son coin avec des écouteurs, qui est plus déprimant qu'autre chose, je me sens dans ce nouveau club comme en prison. je ne comprends pas de quoi je suis puni.
j'ai eu un problème avec le club d'avant pour lequel j'avais travaillé gratuitement, j'avais souhaité partir, et le club précédent je n'étais pas trop à mon aisé non plus. mais là c'est différent, je me sentais bien, je n'avais pas à me sacrifier.
mais tant que les dirigeants de ce clubs sont indifférent à la souffrance de cette violence verbale que j'endure. le prof 1 me menace en 2022, le collègue du prof 2 me menace en 2023, les profs 3 et 4, collègues du prof 2, me menacent en 2023. et après ce sera quoi ? chacun cherche à venger le précédent que j'aurai enquiquiné dans leur rêves la nuit et ce petit jeu de vengeance masqué se transforme en lynchage sans fin.
je serai vraiment idiot de retourner dans un tel endroit si aucun sanction n'est prise pour dissuader de tels comportements de se perpétuer.
en attendant je fréquentais ce club à hauteur de 3h par jour, 5 fois par semaine, c'était le seul endroit où je sociabilisais, en plus d'être accro au sport. je suis webdesigner je travaille seul derrière un pc, et je ne vais jamais en bar / boite de nuit.
je suis orphelin de fitness, privé de mon addiction. ils ont contacté facebook pour faire supprimer mon avis sur leur page officielle, alors je viens pleurer ici.
être exclu d'une société, d'une communauté, je ne le souhaite à personne. tout est parti d'une aggressivité qui pourrait paraitre banale où ordinaire sur les réseaux sociaux, mais cela à pris des proportions démesurées.
michael
ps : pour courroner le tout, je vois 4 ou 5 avocats qui me ruinent. un spécialiste du droit civil dit "c'est du pénal" l'autre spécialiste du droit pénal répond "c'est du civil". difficile de déterminer un responsable quand l'incident ne se passe pas sur le lieu de travail et quand les salariés ne sont pas en CDI mais en freelance. les avocats buguent entre des demandes de "courrier au directeur" à 2000 €, des factures facturées. et j'ai dépensé comme ça au moins 500 euros juste en consultations d'avocats.